juin 2008

  • (ordinateur, images, perte – ratage)

    [ 1 juin 2008 / 24 octobre 2008 ]


  • snv80994, snv809931

    [ 1 juin 2008 / 24 octobre 2008 ]


  • jean livre sterling

    [ 9 juin 2008 / 1 décembre 2008 ]

    lors de la dernière séance, où j’avais bcp pleuré, l’analyste devant s’absenter m’avait demandé que je l’appelle la semaine suivante tous les matins, à huit heures. était-ce parce que je lui avais dit que j’avais l’impression de n’être pas prise au sérieux, de n’avoir  pas été prise au sérieux, ici, par les analystes de paris ? était-ce pour cela ? pour me prouver le contraire ? pour me réengager dans le processus analytique?

    ce que cette semaine de « séances téléphoniques » a donné. j’ai du mal à me souvenir.

    lors du premier coup de fil, j’avais commencé disant qu’il serait peut-être bon d’interroger pourquoi très vite ça avait été ça : l’analyse ou la mort1. et quel était, quel serait, pourrait être le lien entre la psychanalyse et les camps de la mort, Auschwitz.

    Sieg Maandag, jeune Juif hollandais survivant, marchant sur un chemin bordé de cadavres, à Bergen-Belsen, vers le 20 avril 1945. il y a eu le rêve:

    des jambes, des corps couchés, alignés. une douche passée par dessus, une douche dont le jet est très fort, qui déplace les chairs – la cellulite.
    celui qui manipule la douche qui dit : regardez, ça bouge, ça bouge.

    douche : je pense aux camps (jet gaz/eau).
    cellulite : je pense à cellule, enfermement, je pense oncle jean.

    je dis à l’analyste, au téléphone, « vous ai-je dit que pendant la guerre mes grands-parents ont sauvé une famille juive, cachée dans leur grenier ? » je dis leur nom : Sterling. je dis que c’est le père Sterling qui a appris la peinture à mon père.

    en raccrochant, je me demande pourquoi j’ai raconté ça,  pourquoi j’ai donné ce nom, « Sterling »?

    fatiguée, troublée, dans la volonté de repenser à tout ça, je me recouche  ; il est un peu après huit heures. je réalise que j’ai omis de dire qu’ils étaient partis, finalement, les sterling, qu’ils avaient eu peur de mon oncle, jean.

    mon oncle jean. peur qu’il les livre aux Allemands.

    je me souviens alors d’un rêve fait au cours de l’analyse avec D., où je le payais avec des « livres sterling« . là, tout se précipite dans ma tête (déchainement) :

    mon oncle, qui voulais voulait écrire un livre, aurait livré sterling aux allemands, aux camps (« jean livre sterling »). je précise ici que les sterling ont survécu, et que le fils s’est inscrit à l’académie de dessin où mon père était directeur.

    alors, écrire, livrer, l’impossible livre; écrire trahir; livrer aux camps de la mort.

    après les livres de Imre Kertesz, la seule chose que j’étais parvenue à écrire : « après ce livre ce qui écrit Auschwitz : écrire devient possible. redevient possible »

    les jambes – les corps – la douche – la livre de vie, la livre de chair. « ça bouge, ça bouge… »

    Notes:
    1.  avec ça que j’étais arrivée pour ma « demande de passe », des années auparavant, dans cette certitude que le choix d’être analyste, c’était un choix de vie, le choix de vivre ; et puis, bien avant cela, il y avait eu ce dont j’ai déjà parlé ici : j’étais arrivée en analyse à la suite de la lecture du livre de pierre rey, espérant qu’elle débouche sur ça : ou devenir analyste, ou écrire un livre, comme pierre rey, ou me tuer, et me réussir, comme le gros []
  • pomme, pommeau

    [ 11 juin 2008 / 24 novembre 2008 ]
    la cane de jeanne

    la cane de jeanne

    conclusion de la séance d’hier : je ne sais pas quoi faire de ma vie, je ne sais plus du tout. curieusement, m’en sens libérée. loin de ces lourdes histoires auschwitziennes et autres « lacan-dla-mort » (le plaisant docteur g. me dira plus tard : « après les camps, la libération, c’est logique, c’est logique»).

    je dis à l’analyste que l’image du rêve des « corps allongés morts passés à la douche » m’avait fait pensé, après-coup, à une photo de cadavres alignés, retrouvés à Auschwitz ; cette image qui maintenant s’impose. il me parle de cette cadavérisation dans le rêve comme d’une défense contre le grouillement de la vie (« ça bouge, ça bouge! »)

    à propos du rêve surtout, cela qui dédramatise, ce que je n’avais pas vu et dont l’analyste s’est étonné  ( ou a fait semblant de s’étonner) : le pommeau de douche ≈ le pommeau du téléphone !!! ( ce coup de fil que je m’étais vue invitée à lui passer tous les jours).

    NB: se défendre contre la jouissance / s’il est possible de comprendre pourquoi elle est serait s’avère si HORRIfiante.

  • écrire debout

    [ 16 juin 2008 / 24 novembre 2008 ]

    13:29

    à cdz, il le faut, que je lui dise que je me cache de tout, de tous, en ce moment, et surtout du travail.

    et surtout du travail,
    amen

    je voudrais un bureau auquel je puisse travailler debout, et un tout petit ordinateur ( un écritoire ancien, un meuble à écrire debout).

    me lever de ce bureau. marcher dans l’appartement ( échapper aux habitudes des lieux, aux assises anciennes : impossible – mais pas complètement) ( sur mon bureau une revue intitulée : « la force du même »). me lever.

    13:43
    également: changer de lumière.

    13:54
    voyez-vous, auschwitz même, dans mon cas, est une défense ( pour le dire simplement).

    vendredi avec jules : bhv de l’hôtel de ville ( recherche cadeau f.) , puis notre-dame ( « non, je ne veux pas rentrer, ça fait peur »). pénétrons une autre église, où l’on chante en latin ( c’est Église Saint-Nicolas-du-Chardonnet,  » fief d’un mouvement catholique traditionaliste »). jules veut s’asseoir. les gens se lèvent. c’est un mariage, les robes sont longues et les chapeaux sur toutes les têtes des dames. à jules, je ne dis, explique rien, si ce n’est qu’il s’agit d’un mariage, il dit oui oui, il parle tout bas. je l’entraîne vers la sortie. plus loin, il va foncer pour pénétrer dans un espace précédé de l’enseigne qu’il ne sait évidemment pas lire :  » mémorial de la déportation« . je lis sur l’insigne de la dame qui l’arrête dans son élan, qu’elle est de la  » défense nationale ». elle me demande son âge et si il a déjà vu un cimetière. je lui dis que oui. je sens les larmes me monter aux yeux. dans ce cas, me dit la dame défense nationale, il peut y aller. jeune homme, lui dit-elle en se tournant vers lui, avez-vous un téléphone portable sur vous, non, répond-il, avez-vous un appareil photo, non répond-il, bien, vous allez descendre ces marches, mais attention, vous ne pourrez plus parler, plus faire de bruit, ne vous approchez pas de la herse. plus tard, nous monterons manger des gâteaux en haut, tout en haut de l’institut du monde arabe. jules prend des photos. avant de prendre le bus pour rentrer, nous passons par les plaines de jeu du jardin des plantes. je suis très fière de jules, de sa façon de se déployer, de ses courses, de ses cris, de sa gaieté, des enfants qu’il amène à sa suite. au retour, nous croisons un héron cendré, jules lui dit qu’il s’appelle jules et s’indigne de ce qu’il ne lui réponde pas. je lui dis que l’animal est sauvage et qu’il ne parle pas. il a peine à me croire.

    Les photos de Jules  :

    on est partion se relève, on a fini le goûterchien-caca, \ma poussettevuearrivée sur la terrasse

    qu’Auschwitz donc, est un autre encore des noms que prend ma défense. couverture , voile.

    « défense », le terme est de l’analyste la semaine dernière, parlant du rêve, de la cadavérisation comme d’une défense contre l’horreur de la vie, le grouillant de la jouissance.

    14:22 je voulais dire qu’auschwitz couvre seulement l’horreur, celle qui n’en n’a pas, de nom. une représentation.

    14:32 mercredi: le cours de miller, le dernier cette année (la lettre que je ne lui ai pas écrite).

    (14:41 en fait, c’était le contraire : d’abord le mémorial de la déportation, ensuite l’église de la rue des bernardins.)

  • bon sang, si je m’intéressais à ce qui m’intéresse

    [ 17 juin 2008 / 5 octobre 2008 ]

    bon sang, si je m’intéressais à ce qui m’intéresse, en plus de lire cet article jusqu’au bout, probablement je

  • journal (quarante et demi)

    [ 21 juin 2008 / 16 novembre 2008 ]

    40,5

    métro, ligne 8

    hier mat. vendredi, coiffeur Jules 10 heures, je lui dis : le meilleur coiffeur du monde, il n’empêche qu’il hurle hurle hurle et la coiffeuse n’a pas l’air rassurée, je lui dis d’y aller, elle me dit qu’est-ce que je fais, que ce soit joli je lui réponds. il se calme finalement à l’arrivée d’une péniche, regardez, regardez, et du pont qui s’ouvre, regardez, regardez.

    au sortir, le conduis à MDE (cartoucherie de vincennes), c’est midi.

    Retour home : 13 heures. travail pour site MDE – j’aime bien ce travail. Retrouvé prescription Deroxat.

    Allée à pharm, cherché argent et retour MDE pour 17 heures – m’étais proposée pour suppléer à garde enfants. finalement Ren. arrive également. Lui parle. malgré nos « différents graves » , les év. des derniers jours, les différentes réunions, m’ont montré que je peux dire ce que je pense, et des choses dures, sans en être autrement affectée – avec bcp de légèreté. f. dit que ce n’est pas vrai, que ça m’a empêché de dormir. peut-être mais sur le moment même, j’ai parlé, fort et clairement, et sans que mon cœur en batte le moins du monde la chamade. je remarque que j’aime ça, les discussions, que ça me plaît. Bien sûr l’enjeu est pour moi bien moins important que pour mon adversaire. L’enjeu peut être un jeu pour moi. j’ai pris conscience de ça.

    j’arrive à destination, place de la République.

    direction quai de Valmy, assise là

    quai de valmy

    c’est donc moi qui vais chez le coiffeur aujourd’hui. sur un banc, assise face à canal, colle sparadrap sur « cloche » (c’est du belge) provoquée par ma noire sandale à talon haut à mon gros orteil gauche. mis les chaussures auxquelles j’aimerais que ma coiffure ressemble. ce sont des chaussures que je ne mets jamais. f. dit « des chaussures de femmes ».

    Rêves incroyables de cette nuit – club sado-masochiste.

  • diary (traces de réel)

    [ 23 juin 2008 / 24 novembre 2008 ]

    dimanche

    sommes allés hier à 3 voir speedracer !

    pyrethre

    maintenant il est 11 heures, j’ai déposé jules à la mde, je suis d’étrangement bonne humeur, j’ai passé de l’insecticide bio à base de pyrethre dans la salle et les deux chambres, cela me donne bonne conscience : je crains que nous n’ayons ramené des punaises de la mde. personne là-bas ne veut croire qu’il y en a. moi aussi, j’aimerais mieux ne pas y croire, mais franchement j’ai du mal. me suis beaucoup demandée ce week-end s’il valait mieux que jules n’y aille plus. les rv que j’ai aujourd’hui et demain ont tranché pour moi.

    samedi, matin

    coiffeur pour moi aussi, samedi. coupe/couleur. j’étais ravie, les lieux sont magnifiques, de même que toutes les personnes qui y circulent. je ne sais à quoi ça tient. si : les coiffeuses. elles sont jolies comme j’aime. l’illusion d’être « sociable ». la lumière. et la satisfaction de l’avoir fait, d’être allée chez le coiffeur. en sortant me suis achetée dans un incroyable magasin un joli petit chemisier à carreaux bleus et manches courtes et bouffantes.
    ( il m’arrive de penser que si mon état dépressif s’améliorait, cela pourrait coûter cher ( je me sens presque prête à assouvir satisfaire mes désirs envies).)

    nettoyage

    le reste du temps, j’ai nettoyé et mis de l’ordre. f me dit qu’il faudrait que nous fassions l’effort de tout ranger au fur et à mesure. il aurait voulu que j’en convienne avec lui. je n’ai pas voulu. sans que je sache très bien pourquoi. mauvaise part de ma part? il me semble que je passe déjà beaucoup de temps à ca.

    était-ce de cela qu’il s’agissait? ou seulement de lui reprocher de n’en faire pas assez, sans que ce soit la chose reprochée en elle-même qui compte, mais le reproche ? à penser de cette façon, à s’interroger de cette façon, on ne peut plus être sûr de rien. lui cherchais-je noise pour lui chercher noise, ou ai-je raison ?

    je lui dis aussi que nous devrions moins nous inquiéter du désordre (et des traces qu’il appose du réel). lui me dit que c’est impossible. or il me semble qu’au désordre et à la saleté nous pourrions nous consacrer sans effort ( ce que je n’ai pas été loin de faire ce week-end, en dehors du cinéma, des soirées à lire au lit, des indispensables courses, des insomniaques pensées). et je pourrais croire que ce seraient des choses que nous nous imposerions de faire, faute d’arriver à mieux faire ou par besoin de penser que si nous ne faisons pas mieux, c’est que nous en sommes empêchés par un élément extérieur, ici désordre et saleté + l’autre qui ne met pas assez d’ordre ni ne nettoie suffisamment.

    samedi, soir

    me suis-je fâchée ce week-end ? mais oui bien sûr, y aurait-il le moindre week-end sans que je ne me fâche ? mais quand ? vendredi soir. et je n’ai ensuite pas dormi de la nuit. frédéric s’obstinait à me demander, j’étais au lit, je lisais, lovecraft, si je préférais cécilia ou carla sarkosy. me dira-t-on qu’il y a peu de raison là de se fâcher, j’avoue ma propre perplexité. je passai ensuite la nuit à me demander s’il était opportun que nous nous séparions. c’est impossible. il faut que je me mette ça bien en tête. j’aurai essayé également de me dire qu’il faudrait probablement que je fasse un effort. je me serai posé beaucoup d’autres questions. et j’aurai été irritée par la rugosité de mon drap, quand je serai retournée au lit, surtout à l’endroit des gros orteils, ayant porté de très hautes sandales pour aller chez le coiffeur.

    les questions que je me suis posées ce weekend

    • s’il fallait que jules continue d’aller à la mde eu égard aux punaises et toutes questions connexes : y a-t-il vraiment des punaises, ai-je des punaises ici, faut-il que je renvoie un mail sur la mailing liste, puis-je continuer de prendre le risque d’en ramener ici, suis-je folle…
      comment conclure? le seul souci c’est, finalement, de ne pas en ramener ici et/ou de se débarrasser de ceux qui seraient déjà là – concernant ce point : ne faire que le minimum tant que jules va à la mde puisqu’il risque d’en ramener des nouvelles. pour ce qui est de continuer d’essayer d’alerter la mde : c’est probablement inutile, ils ne veulent pas le savoir et ont d’autres soucis en ce moment. laisser tomber donc. ou prendre la chose en main?
    • sur cette même mailing liste, de la mde, faut-il que je pose la question des deux ou trois mille euros réservés par le bureau pour ses travaux, et celle la nature exacte de ces travaux (s’agit-il encore de l’école?) faut-il que j’y formule, indirectement, une critique par rapport au fait qu’ils ont pris ces décisions seuls, sans interroger les autres parents, et alors que d’autres dépenses étaient peut-être prioritaires?
    • concernant ces deux premiers points, est-ce moi qui cherche « de quoi penser », « de quoi nourrir mes ruminations », ou s’agit-il de véritables problèmes ? aurais-je le courage d’attaquer une fois de plus ? ne vaut-il pas mieux tout laisser tomber et les laisser faire ce qu’ils veulent ? renoncer également aux doux plaisirs de la bataille ?
      par ailleurs, je regrette déjà la mde, dont ce sont pour jules les dernières semaines.
      enfin, les combats autour de ces points me préservent peut-être de difficultés plus importantes, abordées dans le point suivant – et alors, d’ailleurs, que le monde est peut-être bien fait, et qu’il vaut mieux être protégé, se protéger de ces difficultés ( celles donc que je me prépare à aborder).
    • envisager que nous nous quittions f et moi est-il raisonnable?
    • concernant ce point, j’ai une réponse: c’est non, à laquelle j’étais arrivée assez rapidement au cours de mon insomnie. il s’agirait de m’en convaincre complètement. que cette idée ne puisse même plus être évoquée par moi.
      concernant ce point : pourquoi m’est-il impossible de vivre avec f ? parce que je ne supporte ni le désir ni la jouissance, le réel.
    • to be or, not psychanalyste : effleurée par l’idée. pensé dire à f que son bureau pourrait me servir de cabinet, me suis retenue : n’aimerais pas avoir à mettre des mots là dessus avec lui. cet item ne devrait pas se trouver dans cette liste, dans la mesure où c’est pour moi un impensable. mais la réponse se trouve cependant plutôt du côté : probablement-not-psychanalyste.

    je suis certainement une emm…

  • ce qu’il dit parfois

    [ 23 juin 2008 / 9 octobre 2008 ]

    – oh, les fesses chaudes !
    […]
    – pourquoi, faut pas dire ça?

  • ( pré liminaires – images amusent-gueule

    [ 25 juin 2008 / 1 février 2009 ]

    apéritif, amuse-gueule
    j’apprécierais les images, certaines.  certaines images. certaines images. lesquelles? un ton, une fluidité,

    certaines qui touchent directement à mon histoire (ex : TRAIN)
    d’autres où /et / partout beau le monde devient partout beau. n’importe quoi. tout. et le corps aussi deviendrait partout. aussi, si ça trouve. alors le monde vient / je suis couchée, je suis nue, sur le dos / se glisse sous les paupières, et je l’y rejoins. tu es là. tu viens.

    l’après-coup des images. des vagues, j’accueille.

    c’en est UNE des façons bien sûr. ça n’est pas LA. il y a le hasard


    the art of memory, trains in cinema, part 5

     

  • nuit numérisée

    [ 27 juin 2008 / 24 octobre 2008 ]


    fait un mini album de photos avec celles prises l’autre nuit.
    f. pas là, était à lyon. nous habitons au dessus d’un restaurant portugais. il faisait chaud, les fenêtres de la chambre étaient ouvertes. j’entendais les voix des clients sur le trottoir. je voulais les enregistrer, c’est pour ça que j’ai sorti l’appareil. j’aime assez leurs voix. rien ne dit que leurs dialogues ne valent pas ceux d’un film de manoël de oliveira.
    j’ai remarqué que l’appareil prenait bien des photos dans le noir, me suis amusée de l’éclair rouge qu’il y envoie, craignant un peu qu’il me fasse repérer. j’ai en ai pris beaucoup, de chacune des fenêtres de l’appartement. testé toutes les fonctions de l’appareil.
    après, je n’ai pas retrouvé les films que j’avais faits et ne savais que faire des photos prises. par hasard j’ai découvert une fonction dans dreamweaver qui fait des albums photos automatiquement (taille les photos, crée les pages.)
    il faut que je retrouve les films (pour les voix).
    (évidemment il y a trop de photos, beaucoup trop)

  • de la fenêtre

    [ 30 juin 2008 / 1 février 2009 ]