Pause (mais en guise de réponse, tentative

que le futur nous détermine dans le mesure où on ne peut rien en savoir – ce qu’il comporte de réel (trou dans le savoir) (un impossible formé seulement de possibles – le possible c’est une difficulté pour moi aussi (ils sont toujours nombreux et impliquent un choix et le choix est comme un sacrifice – j’ai l’impression de parler avec dans  la voie voix de mon adolescence… caramba, les possibles m’ont tuée)

me suis seulement fait essentiellement fait la réflexion que j’étais toujours tournée vers le passé / coupée apeurée du futur

alors que le futur comporte la « possibilité de la contingence » du hasard – lui / au-delà de mes propres nécessités (de mes lois liées au passé), et donc susceptible de les délier

(même si récemment, miller disait que non,1 )

peut-être bien que le projet s’accorde avec le désir

et qu’il s’agit de tourner l’impuissance le sentiment d’impuissance, en reconnaissance/admission de l’impossible

mais le projet s’est aussi  trop souvent lourdement accordé avec l’idéal, et la face surmoïque de l’idéal est paralysante

arrivant en analyse j’ai cru, je croyais, qu’il n’y avait pas de hasard, c’était ma lecture alors de l »a « la lettre volée »)

or,

jamais un coup de dés n’abolira…

ce qui m’apparaît à l’instant même

bon, je dois retourner travailler là-bas, http://musicalpainting.com/ mais ça je traîne ça je traîne ça je traîne.

Notes:
  1.   “le sujet heureux puisqu’il ne peut rien devoir ne peut rien devoir qu’à l’heur”  → ne peut rien devoir qu’à la fortune → la contingence / soit ce qui arrive et qui n’était pas écrit

    “tout heur lui est bon pour ce qui le maintient, soit pour qu’il se répète” → de l’ordre de ce qui ne cesse pas d’écrire.

    ce qui n’est pas écrit et qui arrive, la contingence, l’heur SERT la répétition

    PP (principe de plaisir) et PR (principe de réalité) fonctionnent ensemble

    PR dominé par PP

    voir https://www.disparates.org/delta/2008/10/notes-prises-au-dernier-cours-de-miller-11-juin-08/

    []