ir se mens on ge blême

Publié le Catégorisé comme brouillonne de vie

MAINTENANT C’EST FAIT et je le sais bien qu’il n’y a pas d’énigme, des choses, j’attends. j’attends, ma chère, et je songe, ma chère

à lever l’ancre à décamper à m’ortir d’ici . je dis : cétacé. et combien de fois faut-il que je le répète: vous me manquez et le reste
il y a des choses.
et ce goût de d’ire, c’est assez (elle crie), tu m’entends. assez (plus bas).
je ne suis pas celle qui crie, ou je le suis aussi, je le sais bien, va comment vous/ tu écrîtes.

ma très douée . ma trop, peut-être, prends garde . oh le doux mot, prends garde à toi.


ils ont ditQui ? présentez
vous / RE:présentez vous/
si je n’avais qu’une seule idée à exprimer ce soir
Mise en demeure / Erreur technique veuillez retrouver un guide opérant
/ il existait 4 enfants à éviter / nous l’avons attendu longtemps,
mais ça valait la peine / s’en balance, qui trousse l’ourlet de tes
jupes…et amoureusement, sans te laisser aller à aucun trouble /
approchez, je suis nu

Dernière
chose
: il reste

(mais à vrai dire, je ne m’en souviens pas

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d i s p a r ition

approchez, je suis nu. je suis triste et noue. et ta voix. d’ailleurs je ne prendrai pas soin de toi, ni toi ni aucun, je te connais, depuis très longtemps. c’est comme ça voilà, donc va-t-en, laisse-moi encore.

est-ce que tu travailles est-ce que tu es là est-ce que tu vas
m’accueillir alors comme ça vraiment crois-tu que je t’ai crue, jamais / mangée nue plutôt et en désordre et violemment parce que ça fait du bien / mais tu n’es pas là dedans, tu es ailleurs, tu es ailleurs, dans la grande tristesse le grand chambard et moi, je
m’en
nuie vois-tu, tais-toi souverainement : abrite-moi je t’aimais bien, tu sais,

Par Iota

- travailleuse de l'ombre

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