que je me réveille la nuit continue de me désespérer. surtout quand il s’agit alors de n’éprouver rien d’autre qu’un sentiment de fin du monde.
sommes de retour à paris. n’ai pas osé rester seule à bruxelles avec jules – d’un peu de tristesse seulement peux m’en trouver affectée, que j’observe profonde et menue – ce dernier trait faisant sa force, aussi la mienne, ce pourquoi même ma colère de cette nuit n’aurait pas dû naître; or et en quoi franchement ces insomnies ne se justifient pas, il me semble, sont à combattre (aussi hardiment que possible) (et je pourrais devrais également vous donner des chevaliers tracés à l’encre noire sur blanc papier, d’une blancheur qui évoquerait celle de mon …
Lire la suite → “cailloux choux, genoux (607)”