premier samedi 2007, 13h02

Mauvaise nuit que cette nuit où un souvenir est redevenu mauvais. Comme la semaine dernière, je m’attelle maitenant à écrire la dernière séance et ses suites. Je n’en ai pas envie ou ça me fait plutôt peur, mon esprit est vide, en fait je redoute de ne pas y arriver. Essayer de le faire sans y penser. Plonger, ou plutôt descendre les marches qui pénètrent la piscine. Tant que je ne le fais pas, je crains de restée hébétée, hébétée et tentée de garder les yeux clos. Trêve de précautions oratoires, ouvrons l’œil, allons-y. J’ai abandonné Fred à Jules (le pauvre. Le stylobille roule sur le carnet).

Séance : J’ai commencé en reprenant ce que j’avais découvert ici en écrivant. …
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week end

très affaiblie par ces souvenirs.

et toujours cette grande fatigue, incroyable.

ça s’est très mal passé, samedi, quand frédéric est rentré dans la chambre pendant que j’écrivais – ce que je viens de retaper ici -, rentré avec jules, disant que jules devait être rassuré, voir sa mère, qu’il fallait lui expliquer (ce que j’avais fait). Je me suis levée, alors. j’ai donné à manger à jules. puis, je n’ai plus voulu écrire. sous prétexte qu’on m’en empêchait. malheureusement, je me suis fâchée, très fort, et devant jules, j’ai accusé frédéric de toutes sorttes de choses. il a fallu que je dorme pour me récupérer. ensuite, nous avons été faire des coursses. le soir, de peur de ne pas m’endormir, …
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muji (lendemain de week end)

je sais comment m’habiller, je ne pourrais pas me mettre au boulot, c’est mal, c’est mal, c’est mal, j’ai besoin de douceur, de me traiter doucement, pourquoi est-ce que je ne travaillerais pas, peut-être parce que jules est là, que c’est difficile de travailler en sa présence, peut-être parce que je ne me remets pas d’avoir crié devant lui samedi, que j’ai peur qu’il ait attrapé peur de moi, qu’il faut retrouver une confiance, complicité, lui donner du bon, j’ai décidé d’aller chez muji, m’acheter des cahiers, jules aime le métro, nous irons en métro, voilà, voilà, voilà, il ne me reste plus qu’à m’habiller, je sais comment m’habiller, je sais comment m’habiller, ensuite, il faudra que j’habille jules, puis, …
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enfermée dans la chambre (venue aux faits)

samedi 12 mai 12:57

rêve de cette nuit. ma mère à la clinique. on découvre qu’elle est très malade. qu’elle a un cancer, je ne sais plus de quoi, des poumons peut-être, enfin, ça reste vague. on lui dit qu’elle doit se reposer. on lui dit qu’elle doit se faire aider. je suis là, on me fait comprendre que je dois l’aider, absolument. je vais de mon côté à un hôpital. je suis malade aussi. on me met des pansements. beaucoup. je vais voir ma mère, je lui dis que je suis très malade. moi aussi, très malade. je lui dis « mais tu sais, c’est vrai, je suis très malade. » elle n’a pas l’air de


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le lendemain, dimanche, 14 :18, sur le lit. fenêtre ouverte, vent dans les arbres, ravie.

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revenir sur ce que j’ai écrit hier, à propos des 2 rêves : c’est non, c’est non, c’est idiot, ça n’est pas ça, faut laisser tomber, ces interprétation bidons.

x2, double, reflet, paire
ma mère et moi, 2 maladies, 2 maladies mortelles, 2 mères, 2 frères, 2 amies, 2 amis, grand appartement, 2 blondes, jumelles, reflet,

les contraires
ancien/moderne, 1 brun/1blond

les méchants, les gentils = l’explication du monde
méchants/méchante, faire travailler/travailler

les mères et leur maladies de mère, qui sont en réalité, 1 maladie de femme, 1 maladie mortelle. 1 maladie de jouissance – cancer / brûlée vive.

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quand l’histoire, la scène, devient un rêve (et retour sur la paire)

Deux séances non racontées.

Une Anna est venue loger ici
– amie de F.

Il y a deux séances donc
– y suis allée avec des pieds de plomb – rien, me semblait-il, à dire. Fatiguée de ce que j’avais commencé à développer ici autour des rêves et de la scène (l’histoire) (des 2 hommes). En séance, lapsus: au lieu d’en parler d’« histoire », je parle de « rêve ». Il, l’analyste, tape du pied. Me dit quelque chose, quoi, je ne sais plus. Puis me parle du fait que c’est quand on ne sait plus quoi dire que ça commence, l’analyse, la psychanalyse. C’était lors donc de l’avant-dernière séance. Et c’est depuis que je n’écris plus ici, …
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