c’est un « livre dont vous êtes le héros » ?
quand on en a lu un on les a lus tous
vm
15 années il y a
@G : non
vm
15 années il y a
un jour une nuit au lit sous un toit mettez les virgules où vous voulez moi je sais où elles sont : rien n’y fera vous n’étiez avec moi sous ce toit-là. j’y étais dans un grand lit à minimum deux places . c’était sous le toit de l’homme chez qui je vivais et qui guess what était psychanalyste – je tapote sur le clavier ; là, non plus vous n’entendez pas , je danse . il me dit : alors, heureuse? non. il ne me dit pas ça. mais moi je lui dis : je suis comblée . lui, me rétorque : ah, l’angoisse!
(c’est quand le manque vient à manquer qu’il y a l’angoisse.)
d’où : oui, tout (sans trou). (mauvais l’ivre)
l’homme qui était psychanalyste portait de même le nom du curé du prêtre qui de mon oncle s’occupa à sa sortie de prison .
alors oui, n’importe quoi, avec des arrêts spéciaux cependant, des chevilles, vibrations à : prison, meurtre, double meurtre, guerre, gaz , mais gaby, et l ivre etc.
// tant il est vrai cependant que n’importe quoi peut faire office venir faire office de :
prison, meurtre, guerre, gaz , mais gaby, et l ivre etc.
comme quoi les psychanalystes, oui, peuvent dire n’importe quoi aussi bien
ce qui me fait dire que le n’importe quoi serait ce qui nous échappe
ce qui échappe à l’auto-controle ?
vm
15 années il y a
non je ne pense pas que ce soit n’importe quoi tu vois ce qu’il disait mais j’ai encore soif.
non, je ne pense pas. d’autant que je ne pensais pas ce que je disais. mais je crois qu’il y a un lien entre l’angoisse et la jouissance . cela
mais oui, le n’importe quoi échappe, dépasse le contrôle
tout ???????????????
ah oui certainement tout (!)
.. bon ben tu es entrée dans le livre alors..
(reste plus qu’à trouver la sortie)
ouais
c’est un « livre dont vous êtes le héros » ?
quand on en a lu un on les a lus tous
@G : non
un jour une nuit au lit sous un toit mettez les virgules où vous voulez moi je sais où elles sont : rien n’y fera vous n’étiez avec moi sous ce toit-là. j’y étais dans un grand lit à minimum deux places . c’était sous le toit de l’homme chez qui je vivais et qui guess what était psychanalyste – je tapote sur le clavier ; là, non plus vous n’entendez pas , je danse . il me dit : alors, heureuse? non. il ne me dit pas ça. mais moi je lui dis : je suis comblée . lui, me rétorque : ah, l’angoisse!
(c’est quand le manque vient à manquer qu’il y a l’angoisse.)
d’où : oui, tout (sans trou). (mauvais l’ivre)
l’homme qui était psychanalyste portait de même le nom du curé du prêtre qui de mon oncle s’occupa à sa sortie de prison .alors oui, n’importe quoi, avec des arrêts spéciaux cependant, des chevilles, vibrations à : prison, meurtre, double meurtre, guerre, gaz , mais gaby, et l ivre etc.
// tant il est vrai cependant que n’importe quoi peut faire office venir faire office de :
prison, meurtre, guerre, gaz , mais gaby, et l ivre etc.
bah.
comme quoi les psychanalystes, oui, peuvent dire n’importe quoi aussi bien
ce qui me fait dire que le n’importe quoi serait ce qui nous échappe
ce qui échappe à l’auto-controle ?
non je ne pense pas que ce soit n’importe quoi tu vois ce qu’il disait mais j’ai encore soif.
non, je ne pense pas. d’autant que je ne pensais pas ce que je disais. mais je crois qu’il y a un lien entre l’angoisse et la jouissance . cela
mais oui, le n’importe quoi échappe, dépasse le contrôle