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oblativité dissimulée…

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my life as a to do list



(l’en-faire du devoir)

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le coiffeur, la petite fille, le chat et les pigeons (le rêve)

dimanche matin, métro direction gare d’Austerlitz (pic nic à don. aujourd’hui)

Rêve de cette nuit, du samedi 4 au  dimanche 5

Le voisin d’en face a ouvert un salon de coiffure à côté. Il avait autrefois un établissement en face, je ne sais plus de quoi, mais maintenant il ouvre à côté – a fermé en face.

J’ai un ordinateur. Je suis assise à cet ordinateur grand écran, comme l’ancien. Dans une immense pièce, qui a plutôt quelque chose d’un atelier, qui ressemble un peu à l’entrepôt de houblon à Poperinge.

J’ai un chat. Ce chat s’est fait un copain.

le coiffeur d’à-côté

J’ appelle au téléphone le voisin passé coiffeur pour le féliciter …
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« … le culte de la sous-culture « 

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– et toi, bois-tu quand tu as soif?

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un beau carré je voudrais. un peu long. juste sous les épaules. et puis, aussi, blonde.

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sur la lenteur

Marie-Monique Morre-Lambelin

jamais on n’ira assez lentement

ni pour les autres, ni pour soi

Alain, à Marie-Monique Morre-Lambelin, mars 1910

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éléments d’interprétation : le voisin et le coiffeur


1. élément de la veille1

La veille au soir du rêve comme je pénétrais dans la chambre sombre, j’ai surpris un voisin d’en face,  pas celui que nous avons l’habitude de voir, un autre, que je voyais pour la première fois accoudé sa fenêtre qui fumait et me regardait. Je me lavais les dents. J’ai pensé qu’il avait une vue directe sur le lit. Je me suis plus tard approchée de la fenêtre, et alors qu’il était encore en face de moi, l’air de rien, j’ai tiré les rideaux. J’ai dû plus ou moins consciemment pensé que j’aurais pu lui plaire.


2. dans le rêve : voisin qui était en face ferme et s’installe à côté



2. 1. fermeture
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Alain, parler sans savoir, s’autoriser à se tromper

alain gilet noir

Je pensais avoir lu dans le livre d’Alain1 quelque chose à propos du plongeon en quoi consistaient pour lui ses conférences : ne pas savoir avant de parler, ne savoir qu’au moment où il se lançait dans la parole, de préférence face à un auditoire acquis, dont il lui semblait qu’il le soutenait, qu’il relançait son travail d’élaboration, avec lequel il vivait une sorte d’osmose, d’expérience mystique. Mais  je n’ai pas retrouvé ce passage qui m’avait frappée (que je n’aurai pourtant pas inventé, que j’aurais aimé recopier ici). Reste néanmoins ce passage-ci que je trouve joli, à propos des erreurs que l’adoption d’un certain ton, dans le dialogue, permet de faire :

Tout ce monde fut parfait pour moi.


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et plus si affinités

« Chaque pierre que je trouvais, chaque fleur cueillie et chaque papillon épinglé représentait déjà à mes yeux le début d’une collection et tout ce que, d’une manière générale, je possédais constituait une seule et unique collection.

‘Ranger’ , c’eût été détruire un édifice plein de marrons avec leurs épines (en fait des masses d’armes), de papiers d’étain (un trésor d’argent), de cubes de bois (autant de cercueils), de cactus (qui étaient des totems), et des pièces de cuivre (qui étaient des boucliers). Ainsi croissait et se métamorphosait l’avoir de l’enfance dans les tiroirs, les coffres et les boîtes ».

Walter Benjamin. Enfance berlinoise. Ed. Maurice Nadeau, traduction Jean Lacoste. 1972.

[ txt via Le divan fumoir bohémien, …
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