(je note mes rêves sur papier, histoire de n’être pas

distraite par l’environnement logiciel, digital, virtuel (les réseaux sociaux…) qu’implique le travail sur un ordinateur. écrire sur papier, c’est comme fermer les yeux, y aller. ensuite, je me force à les recopier ici, sur le site. ça me permet également de mettre un peu de distance, d’oublier le plus souvent complètement ce que j’avais d’abord noté, et d’y revenir. mais, je n’aime pas faire ça, du tout. par ailleurs, comme la chronologie est importante pour moi, je publie mes notes non pas à la date du jour de leur publication ici, mais à la date du journal papier. voilà.)

Sans titre

il faut que je
de ça parle
absolument puisque
cette angoisse depuis
vendredi
absolument arrive à par
ler de ça, lundi, cette angoisse où je plonge à la seule idée d’avoir à
facturer

 …

art – jean //// L’art Jean !

et scène serviette sèche corps nue alix regard arène salle de bain toujours tiberghien 11 ans ////

….

 

bien sûr qu’il y va au désir de l’analyste en revient vaillamment

JOYCE LE SYMPTOME, I – extrait

« C’est bien ce qui se constate dans ce qui fait de Joyce le symptôme, le symptôme pur de ce qu’il en est du rapport au langage, en tant qu’on le réduit au symptôme – à savoir, à ce qu’il a pour effet, quand cet effet on ne l’analyse pas – je dirai plus, qu’on s’interdit de jouer d’aucune des équivoques qui émouvrait l’inconscient chez quiconque.

Si le lecteur est fasciné, c’est de ceci que, conformément à ce nom qui fait écho à celui de Freud, après tout, Joyce a un rapport à joy, la jouissance, s’il est écrit dans lalangue qui est l’anglaise – que cette jouasse, cette jouissance est la seule chose que de son texte nous


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où un rêve me force à me souvenir d’un autre rêve (viscéral)

dimanche 22 mai

rêve hier

marrant, m’y souvenais d’un rêve que j’avais déjà fait, me rappelais d’un rêve oublié, m’en rappelais donc, avec toutes les  virgules lacunes qui y attiennent.
plusieurs personnes
2 hommes, 2 femmes ?
font, faisons des choses (plus interdites qu’interdites, le plus interdit de l’interdit) (j’ai mis entre parenthèses, parce que pas sûre que ce soit ça) .
j’accepte de le faire.
je suis couchée sur le dos.
me vois comme ça, je veux dire la caméra est là, la caméra du rêve, mais placée de façon à ce que je ne voie pas ce qui se passe dans mon ventre. je ne vois pas de mon point de vue, de mon point de vue

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névrose obsessionnelle – « l’idéal et le père sont dérivés du regard »

mardi matin, fin juin mai, peut-être le dernier jour1, allez savoir.

je pense que je l’ai déjà dit, je n’aime plus écrire ici, je continue, pourquoi, parce que je sais crois que je le dois, pourquoi, je ne sais pas, pourquoi, parce que j’ai fait une analyse, qu’elle a duré très longtemps et que je ne sais pas comment en finir.

je ne sais pas si vous avez lu le 14 ème cours de jacques-alain miller, non? non. oublions, oublions donc et le 14ème cours et tous les autres cours.

je, suite, autre cause : parce que toute ma vie j’ai pensé que je serais psychanalyste un jour haha haha haha mais que ça ne se fait …
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