aléas et nécessités de la jouissance // jouissance, trop, peu, demi, double, Un, un par un, infinitisation, tortue

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en faire peu, pour moi, en passe par en faire trop.
(le peu que je dois et le trop que je ne dois pas.)
(c’est une question de jouissance, et donc à respecter. une fois qu’on le sait, on en profite. )

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pour y revenir : espace de la jouissance féminine et égrenage du un ( infinitude, achille et la tortue)

L’espace de la jouissance féminine dans Encore (Jacques Lacan). L’avancée, la progression de demi en demi, l ‘ infinitisation creusée dans l’ espace, l’ouvert (limité ? borné? Relire) entre deux entiers ( ?)/nombres naturels (?) , l’impossible passage alors à la limite, le saut exigé. La jouissance (phallique) de ce saut, du passage à la limite (et l’angoisse liée à ce saut) opposée à la jouissance non-teintée, elle, d’angoisse tant que ce saut n’est pas fait, et que l’on reste à l’intérieur de l’ouverture, dans l’espace du un par un, du demi en demi, dans cet infini.

[Ici recopier passage de Encore.]

Passage à la limite, saut : jouissance masculine, phallique–> angoisse (pour moi), impossible (pour moi)- métaphore (création d’un sens nouveau)

A l’intérieur de l’ouvert, simple répétition du Un (demi), « trop » – puisque destiné à n’aboutir jamais, ou sur/dans un terme suffisamment long que pour ne pas le sentir passer–> pas d’angoisse- métonymie (glissement) //
Affinités avec psychanalyse et jouissance dans monde contemporain

Par Iota

- travailleuse de l'ombre

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