rêvolution

Publié le Catégorisé comme art, brouillonne de vie Étiqueté , , , ,
Cette publication est la partie 9 de 14 dans la série FLAMME ETERNELLE – une oeuvre de Thomas Hirshhorn

Le plus intéressant de l’œuvre de Didi-hub, Nouvelles histoires de fantômes, exposée au Palais de Tokyo, c’était la rencontre qui a eu lieu le vendredi 9  (voir description ici), avec les films suivis de la discussion. Cela même justement que Hirschhorn offre lui comme œuvre, avec sa Flamme éternelle.  Un dispositif qui offre à chacun de vivre un moment de « tout possible »

 

(comme le disait Jules et que je n’avais pas compris.)

 

(un moment de « tout possible » et que ça ne soit ni péché ni interdit – ce qui pour certains  revient à penser l’impensable,

 

et d’ailleurs l’expo de hirschhorn n’était pas moins conceptuelle que celle de didi-huberman,

 

du conceptuel en acte.

 

(d’où l’impression possible de tout possible. et qu’un enfant d’aujourd’hui, 2013, 2014, ne s’y voie pas arrêté, interdit par les idéaux surmoïques d’hier.  et qu’un enfant y soit celui qui enseigne à ses parents. et que ça passe, parce qu’ils l’aiment.)

ces idéaux du beau et du bien qui parfois nous contraignirent aux passage à l’acte, quand ils ne nous acculaient pas,  le plus souvent, à l’impuissance.

__

le « tout est possible » de l’enfant Jules interprète l’impuissance de sa mère, lui dit : il y a de quoi jouir, tout petit.  une révolution en effet.)

Navigation dans la série<< Flammes étudiantes au Palais de Tokyoau final, il ne restera plus que le don de son corps pour signifier son existence >>

Par Iota

- travailleuse de l'ombre

Top