- Je te parlais de Flamme éternelle, l’exposition de Thomas Hirschhorn auPalais de Tokyo
- les images
- Ce qui est nouveau et ce qui est important dans «Flamme éternelle» par Thomas Hirschhorn
- Quel « tout possible »?
- flamme éternelle, parenthèse (prolégomènes sur le désir)
- et l’incessance,
- il n’y a de tout que de jouissance,
- Flammes étudiantes au Palais de Tokyo
- rêvolution
- au final, il ne restera plus que le don de son corps pour signifier son existence
- Le but n’est pas d’en finir avec le sens. Il n’est même pas de s’entendre : il est de parler à nouveau.
- « j’aime le Scotch»
- hirshhorn sur flickr
- La passion de l’égalité par Alexandre Costanzo
Le plus intéressant de l’œuvre de Didi-hub, Nouvelles histoires de fantômes, exposée au Palais de Tokyo, c’était la rencontre qui a eu lieu le vendredi 9 (voir description ici), avec les films suivis de la discussion. Cela même justement que Hirschhorn offre lui comme œuvre, avec sa Flamme éternelle. Un dispositif qui offre à chacun de vivre un moment de « tout possible »
(comme le disait Jules et que je n’avais pas compris.)
(un moment de « tout possible » et que ça ne soit ni péché ni interdit – ce qui pour certains revient à penser l’impensable,
et d’ailleurs l’expo de hirschhorn n’était pas moins conceptuelle que celle de didi-huberman,
du conceptuel en acte.
(d’où l’impression possible de tout possible. et qu’un enfant d’aujourd’hui, 2013, 2014, ne s’y voie pas arrêté, interdit par les idéaux surmoïques d’hier. et qu’un enfant y soit celui qui enseigne à ses parents. et que ça passe, parce qu’ils l’aiment.)
ces idéaux du beau et du bien qui parfois nous contraignirent aux passage à l’acte, quand ils ne nous acculaient pas, le plus souvent, à l’impuissance.
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le « tout est possible » de l’enfant Jules interprète l’impuissance de sa mère, lui dit : il y a de quoi jouir, tout petit. une révolution en effet.)