jeudi, 14.1.2016, Sevrage Anafranil, Jour 2

Publié le Catégorisé comme brouillonne de vie
Cette publication est la partie 5 de 22 dans la série Pour en finir avec les antidépresseurs

07:42

Réveillée  à 6 heures,  cerveau hyperactif. Envoyé mail boulot, pris petit déjeuner, bois thé vert  – lu avant de m’endormir hier, qu’il valait mieux ne plus boire de café pendant le sevrage. Faut que je retrouve cette article. http://www.psychotropes.info/furax/comprendre-et-minimiser-l-anxiete-pendant-le-sevrage.html

Mis des heures à m’endormir hier soir. Décidé d’observer et d’accepter tout ce qui m’arrivait,  ce qui m’arrivait physiquement, de l’exploiter, les milliards de trucs bizarres que je ressentais un peu partout dans le corps. Avec ce que j’apprends en taï chi, c’est possible. Enfin, ça l’était hier soir. Je ne sais plus depuis combien de temps je prends de l’Anafranil, c’est assez récent. On l’a ajouté parce que je déprimais malgré le Deroxat, mais je ne sais plus dans quelle circonstance. C’est pour ça que je veux arrêter. on augmente les doses, on modifie les médicaments, et la dépression semble être toujours là, le manque d’envie, le désir évanoui, PUIS cette fatigue.

Il ne me semble pas que j’aurai le courage pourtant d’aller au taï chi tout à l’heure. Je ne sais pas ce que je vais faire.

9:10. Dormi. Dois partir dans 20 minutes. Le plus dur, c’est l’idée de voir des gens.

Bon, j’essaie. Je vais prendre trop de retard, sinon.

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Par Iota

- travailleuse de l'ombre

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