interlude 1 – j’ai vu des femmes comme des chosettes dans l’avalyse, comme des enfants sans père.

rêve
– les chosettes sont dans l’avalyse, toutes les chosettes.
avertissement
– le baiser de l’osier est un brasier.
rêve (suite)
– les chosettes en fait ce sont des femmes.
il est dit: elles sont rangées dans l’avalyse, comme des chaussettes, comme des enfants sans pair, on ne les entend pas parce que le couvercle est refermé sur elles.
addendum
– l’avalyse est non en cuir mais en osier.
doute : et si on ne les entendait pas uniquement parce qu’elles n’avaient RIEN à dire.
résultat dans la réalité
– grande ire.
va va va vol et nous venge
(longtemps, folle, j’écrivis des lettres sans double.)

rêve, aucun souvenir.

me réveille,
vois image de mon rêve: groupe de femmes. pense …
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l’écriture du symptôme

hier lundi, vu analyste HB.

ne pas perdre mon temps mon espoir à chercher à rassembler mes idées. tout dans l’épar, dans et par, dans et par l’épar. l’essentiel c’est de surmonter les vides, ni s’y arrêter ni tomber, sauter. n’importe comment.

mais pourquoi avez-vous arrêté de travailler, avez-vous laissé votre métier, perplexité, perplexité, mais parce que je n’y arrivais, y arrivais plus, plus le moindre faire, aucun, telle que me voyez là, suis là à la reconquête du faire.

l’écriture, ce qui s’est passé, si je n’ai plus écrit de fiction, c’est que je suis tombée amoureuse du symptôme, il me fallait, me faut, me fallait, inlassablement, tenter de restituer rendre cette écriture, je suis tombée amoureuse de l’écriture …
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