Le Sambuc, 21 juillet

Publié le Catégorisé comme Hélène Parker Étiqueté , ,

Dernier jour à Arles, partons demain, aujourd’hui journée à Nîmes prévue.

Rêve d’il y a deux nuits : il pourrait y avoir une fontaine jaillissante qui sorte de me tête mais la structure environnante ne convient pas.

La fontaine jaillissante : c’est un point au milieu du pied, « très important », qu’on peut travailler en accupression.

Rêves de cette nuit. Trop nombreux.

Consultation médecin, c’est Simone du tai chi. Je veux la payer, mais je n’ai que du cash, elle ne veut pas, elle se fâche, elle dit, mais tu sais ça, enfin quand même. Là, maintenant, je ne sais pas comment il aurait fallu que je la paie, peut-être que dans le rêve je le sais. Je cherche ce qui pourrait la payer. J’ai beaucoup d’argent sur moi, je lui avais ouvert mon portefeuille, elle avait vu, ça l’avait énervée. Je ne sais pas comment la payer, je cherche. 

À un moment, je croise Rachel (tai chi), elle me  serre très fort dans ses bras, c’est comme si nos bustes se pénétraient, je ne sais pas ce qui se passe, je pense que quelque chose se passe (sentiment).

J’ai un paquet d’argent, c’est ma mère qui me l’a donné, au matin, comme une part de sa paye, rien que j’aie demandé, mais elle a absolument voulu. 

Puis, j’ai un parapluie, je crois. Des parapluies se croisent, je crois. Je suis frôlée aux mains par un morceau de cellophane. Je me rends compte que ce n’est plus un  parapluie que j’ai en main, mais un rouleau de cellophane, qui s’ouvre légèrement, qui colle. Je sais alors qu’on m’a volé l’argent (l’argent était peut-être dans le parapluie). Je n’ai plus rien, j’alerte tout le monde. Je suis très triste, désespérée, il s’agit de l’argent de ma mère. Tout le monde s’en va.

Je reste, je veux porter plainte. La tenancière du bistrot me dit où trouver la police, où je trouverai une permanence. Il n’y a personne, peut être un mot écrit est-il affiché, assez moqueur, pour dire qu’ils sont « momentanément absents ». Ils reviennent. Ils sont moqueurs. Je ne pense pas que j’arrive à m’expliquer. Je cherche l’argent. Je suis la police, je l’accompagne. Je dois voir Martine (tai chi, femme de Rachel) qui m’a envoyé un mot. Je vais chez Rachel et Martine. La police aussi. Elles ne sont pas là. Enfin, je ne les vois pas. On a découvert quelque chose chez elles, un objet volé, magique, très ancien, qu’on ressort de la maison, comme on le ressortirait d’une cave. La personne qui l’avait cherché est très émue. Il n’est pas dit que ce soient Martine et Rachel qui l’aient volé, mais elles le recèlent, peut-être à leur insu.

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Comment payer le « médecin » si l’argent de ma mère ne convient pas

Parapluie / argent de ma mère 

Parapluie / rouleau de cellophane / argent / vol

Chez Rachel et Martine : objet magique volé retrouvé

Hier, ai ramené parapluie de l’hôtel qui était dans la voiture à la chambre, pensant qu’on finirait par l’oublier.  Avais pensé aussi que nous aurions pu nous en servir pour nous protéger du soleil.

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