du manque, du don, du vol. la solution de l’emprunt. de l’autre femme

j’avais un rv à  l’extérieur
j’ai mis, une robe de ma «belle-fille»
un manteau de mon beau compagnon
pour le reste
qui ne s’emprunte pas
j’ai mis
culotte
soutien-gorge bas bottes cheveux bouche yeux doigts cuisses mollets
creux des genoux bras mains épaules dos oreilles seins cils sourcils
ongles ventre et le dedans et l’entre. voix odeur marche silhouette
les allées
les venues
le monde
les hommes
les femmes
circulant
circulation
circulation
la librairie
le bar en face
le mur de fenêtres sur paris
la terrasse
d’éparses chaises
la chaise qu’on m’offre
une main posée sur mon bras
salutations échangées
les écrans diffusent
trop peu de monde encore pour me voir
mon manteau sur le bras
où sont-ils
je reçois

Lire la suite → “du manque, du don, du vol. la solution de l’emprunt. de l’autre femme”
Publié le
Catégorisé comme l'a-volée

de l’autre fem (À  qui je réserve le (du bonheur d’être ___

alors n’aller pas chez le coiffeur alors n’acheter pas larobe – et puis le ce mon bon plaisir le ce mon bon bonheur d’ « être pauvre » (nice to meet you call me poria will you, rolling the r) (or ça: quand il faut il faut(no prob) )
L’économie du supplément d’altérité qui la distingue et qui pour ainsi dire constitue le degré zéro de la méconnaissance de l’altérité qui est en elle, va se placer dans l’autre femme. L’hystérie féminine transpose dans l’autre féminin le cœur de sa propre altérité, dans le parcours d’une véritable aliénation pour ce qui fonde son être propre. Elle échange l’autre qu’elle est pour elle-même, pour l’autre femme qui l’allège du poids de

Lire la suite → “de l’autre fem (À  qui je réserve le (du bonheur d’être ___”

Sans titre

l’a-volée. portes, escaliers. vertige. de bois vert qu’on s’envoie dans la face. que ça claque. se close. ça claque. me close.

série des a-volées

l’a-volée porte , l’a-volée lettre , l’a-volée corps (que les mères des filles sont des « voleuses de corps »)

l’a-volée volée , l’a-volée valée , l’a-volée folée . l’a-volée foleuse . l’a-volée valeuse . l’a-volée voleuse . (pendant des années) .

l’a-volée d’Esc. l’Esc à lier.

|l’a-battue (comme le clit)]

bib:


  1. […] le ravage est le ravissement. […] que le ravissement est lié au corps, ou plus précisément au fait d’avoir un corps, qui, par conséquent, peut être dérobé. Le ravissement est du registre de l’avoir, mais il touche aussi a l’être. La mère est sans doute une grande voleuse de corps, de structure pourrait-on dire, puisqu’elle parle. Mais c’est aussi une ravisseuse d’enfant. L’irruption du ravage dans la

Lire la suite → “série des a-volées”
Publié le
Catégorisé comme l'a-voléeÉtiqueté

ou être ou avoir (I)

olala quand je pense tous ces efforts que je fais pour essayer d’ un peu moins être et d’avoir un peu plus (supporter d’avoir un peu
(parenthèse ouverte : même ce qui y cherche refuge ne trouve pas à  s’y enfermer/clore)
de vraiment très gros efforts (eux disaient la jouissance d’être privée, le prestige de l’apauvre qui au vent au ravin jette cela qu’elle possède de plus précieux, le m’être prestige qu’elle en retire, aux yeux de ses petites camarades (retrouver texte d’e. laurent rapportant ce cas).
(plus platement: tant que je n’ai pas, que je suis sans possession, je peux me croire volée, et tant que je suis volée, j’ai des petites ailes, et tant que

Lire la suite → “ou être ou avoir (I)”
Top