oster. son grand appartement. ce qui m’y plaît d’abord. la façon qu’a son personnage, gavarine, luc, de se moquer de lui-même, d’aller jusqu’au bout de l’absurde (sa serviette, qu’il perd au début du livre, dont il explique comment nulle part il n’irait sans elle, contenant seulement ses clés, pour le reste : vide). je m’interroge hier soir sur ça, comment les pratiquants de l’auto-dérision me touchent, comment ils peuvent me surprendre, et chez moi provoquer le rire. je pense à a. |
Lire la suite → “Christian Oster, Le grand appartement (Quand aimer s’écrit ne pas aimer)”