ma mère, mon père, carla, sarkozy et moi (pouvoir et souplesse)

rêvé de sarkozy (lendemain de notre voyage à bruxelles où étions allés visiter ma mère, hospitalisée).

« il venait,
il disait qu’il aimait beethoven
et l’art classique,
qu’il voulait réinstaurer tout ça,
ou qu’il avait voulu, qu’il n’aimait que ça.

nous, étions plusieurs, comme un groupe de vacances ou d’école. il y avait des enfants. je ne sais pas s’il était encore président. il était séduit par moi, enfin donnait cette impression. à cause du côté allemand, je crois que je pensais. il essayait de s’insérer dans notre groupe. voulait nous insuffler la croyance en un leader.

nous n’osions pas vraiment lui dire que nous n’aimions pas du tout ça. frédéric était là aussi. il voyait cela.

plus tard, …
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pouvoir, souplesse et force

curieux, tout de même, que ce rêve (sarkozy, carla) aie pu être « inspiré » par ce texte :

17. Certaines méthodes de pouvoir sont toujours efficaces, d’autres ne le sont jamais. Une méthode toujours efficace est appelée souplesse, une méthode qui ne l’est jamais est appelée force. Bien qu’elles soient aisées à connaître, les humains ne les connaissent pas encore. C’est pourquoi on disait dans la Haute Antiquité : « Le fort gagne grâce à moins fort que lui, le souple gagne grâce à lui-même. » Le premier est en danger lorsqu’il rencontre un égal, le second n’est jamais en danger. De qui utilise ces méthodes pour se commander soi-même, de qui les utilise pour


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carla et la souplesse

comment le dire, ce rêve, et que je ne m’en sois pas étonnée plus tôt ( non, je m’en suis étonnée plus tôt, mais je ne me suis pas encore formulé cet étonnement)…

je revenais de voir ma mère hospitalisée, il y avait eu ce drame des toiles aussi. il me devenait, il est devenu, de plus en plus impératif que je règle ce problème d’angoisse quand je suis avec elle, ce trou où je bascule et cette rage qui me prend, cette rage, colère, haine.

à quoi l’attribuais-je cette angoisse? mais bien plus à un trop grand amour de moi pour ma mère, quelque chose que je voulais rapprocher de ce que lacan avance de l‘angoisse
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mon corps d’allemande. la brune et la blonde.

quelle mère suis-je, vais-je devenir, pour mon fils ?  insupportable ? est-il possible d’y échapper, faut-il, à l’avance, l’accepter ?

quel amour ?

c’est pourquoi je dois cultiver le désir, et l’érotisme – car l’érotisme n’est qu’à son père et à moi.

et puis quel corps d’allemande ?  et ma mère oiseau.

est-il, allemand, mon corps ? que cela veut-il dire ?

( j’étais blonde / comme mon père
elle était brune1
mes yeux clairs, ses yeux marrons,
nul d’entre-nous, les enfants, ses enfants, n’avons
hérité de ses
caractéristiques
physiques /
sinon, peut-être, mes frères maigres.
alors son corps étrange, et sa langue,

 

 

 

Notes:
  1. je parle au passé, non qu’elle soit morte ni moi, mais car ceci remonte

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