de la semaine

bilan de la semaine du point de vue de ce que j’ai publié ici, je n’ai rien fait que de m’y plaindre, du temps, ce temps en trop qu’il se trouve que ça me prend . j’ai trouvé du travail . j’ai négligé d’emmener j. chez le pédiatre . j’a i rajouté qq vieux textes (juste vieux du mois de juin de cette année + 1 extrait d’1 texte datant de 2002, avant que je n’arrive à paris, le rêve du portable qui devient aussi lisse, fermé sur lui-même qu’une pierre) . de substantiel : rien. hier soir je me relis, à propos de ce qui ne cesse pas de s’écrire – la chose s’est déplacée : j’écris, je prends …
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l’infinie perturbation

peur d’être trop inconsciente vraiment trop inconsciente et alors quoi il n’y aurait pas moyen d’en savoir plus / ils aiment et ils ne savent pas qu’ils aiment ils détestent et ils ne savent pas qu’ils détestent ils désirent et ils ne savent pas qu’ils désirent ils jouissent et ils ne savent pas qu’ils jouissent.

croyez que je n’y crois plus, à ce que je fais, ici. ce blog. (ça ne me fait plusvibrer).

dans mes liens, j’ai rajouté un lien sur jiveziplak, parce qu’elle
c’est elle, ce site, qui m’avait fait reprendre un blog.

avant ça, l’autre qui m’avait fait rêver d’en prendre un, quelle perturbation, à ce moment-là, ç’avait été, comment s’appelle-t-elle déjà, virginie despentes. …
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C’est que l’objet est mouvement malgré qu’il n’y paraisse.

de duve manet courbet moi le monde et le n’importe quoi (suite), et de la perte de l’histoire

Le blog est un symptôme. Il n’y a pas lieu (donc) d’y échapper.

(Non plus mon père, je n’ai jamais compris, comment, dans la vie, il pouvait sembler à ce point hors de son époque tandis que sa peinture y était. Y allait, de son côté. (Il est vrai que lui pensait aller contre, son époque.))

Alors, le n’importe quoi des artistes. Manet, son asperge, Courbet, ses casseurs de pierre. Sont les exemples donnés par Thierry de Duve1 . Est-ce à dire que je pense que nous en soyons toujours là. Oui, à certains égards. La petite chose est sortie de,


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mes supposés lecteurs

Dois fermer le blog, pas le courage de l’écriture, trop paresseuse, devenue trop paresseuse ; ai été travailleuse, ne le suis plus. Du coup continue à trop restreindre ce que je dis. Présuppose, crains, espère, m’attends à certains lecteurs, qu’internet rend d’ailleurs trop proches, auxquels je cherche à servir ce à quoi je m’attends qu’ils s’attendent.

Par exemple, entre autres, et s’opposant d’ailleurs à mes autres supposés lecteurs, crains trop la lecture des psychanalystes, moins leur lecture que celle de l’École (de la Cause freudienne), qu’ils représentent pour moi. Ce que je crois de ce qu’elle peut savoir, qu’elle veut savoir, de la façon dont elle veut le savoir, du moule, des modèles (langagiers) dans lesquels elle fonctionne, de l’étroitesse …
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jeudi 24 mars

toujours un peu malade, surtout le ventre. Me suis soignée avec mes épices de sorcière auxquelles j’ai ajouté des extraits de pépin de pamplemousse et de l’echinacea –  remèdes de grand-mère internet.

de plus en plus tentée de fermer le blog. gênée pas les dernières choses que j’ai écrites. parlant de mon ventre (plus que lui qui est malade, d’ailleurs).
peut-être que ça l’a rendu malade que j’écrive ce que j’ai écrit sur lui, et que je publie ça. ça m’a mise mal à l’aise, en tout cas.

et je n’ai pas le courage de continuer à publier ce qui aux autres paraîtra comme une croyance, quand je l’éprouve moi-même comme une certitude. moi qui sinon ai tendance à démarrer


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dimanche 29 janvier

7h45 Réveillée vers 7h, je crois. Assise dans la salle, 2 fenêtres aux rideaux tirés dont l’un que je dois réparer, Chester sur mes genoux ronronne.

Que dire ? Hier CBD 3 gouttes. Je passe trop de temps sur le blog, c’est l’impression que j’ai. Je n’arrive pas à m’en détacher. Ça avance, pourtant. Je veux dire que je devrais être contente. Mais, c’est le fait de ne pas sortir que je me reproche. De ne pas sortir et de ne voir personne….

Jules a eu ses portes ouvertes, hier. Il est de plus en plus décidé pour les Beaux Arts. Ce serait magnifique qu’il soit pris à Via Ferrata.

J’ai envie de retourner me coucher.

Je me suis …
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