perdre

Si l’objet anal est corrélé au narcissisme, c’est aussi que la tendance à détruire, corrélée à sa défense, produit la tendance à retenir, à garder, à conserver. Et c’est là une fonction du narcissisme : ça conserve. L’objet anal, c’est aussi pour Freud qui le tient des obsédés : les enfants, le pénis, l’argent. Toute chose à garder ou à détruire, à perdre plutôt.
Ici, le texte complet : Les objets de l’obsessionnel, conférence de Philippe La Sagna

// un objet anal, trois objets anaux ? // mon sac,
des feuilles de brouillon, un  cours de miller

un peu plus vite, peut-être ( et l’objet cruel de l’angoisse)

Cette publication est la partie 21 de 22 dans la série Pour en finir avec les antidépresseurs

Donn, au lit, une Q suffisante de degrés, lundi 29 février, 23:16

Je lis.

« Le ciel nous tombant sur la tête serait un bonheur. Caractère incompréhensible de Ia superstition gauloise. Quand ça arrive, c’est là, et sans doute n’y a-t-il rien dans tout ce qui arrive ou peut arriver qui soit aussi près de vite ou de rien. Savoir l’éclair garder serait la vraie, l’impossible devise. Art de vivre ennemi de la fiction, du rêve, du vague (rien est à l’opposé de vague).»

« DP ; ou le Dictionnaire Portatif de Daniel Pommereulle » de Jean-Christophe Bailly  IN Ferdinand Gouzon, Daniel Pommereulle


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