ma mentalité de midinette m’a joué un petit tour.
de l’utilité d’être parfois un peu parano : se resituer dans l’adversité, le sentiment de l’adversité, voire le sentiment imaginaire de l’adversité, sortir de la concorde du nous. de quel nous parlais-je ? celui d’une communauté qu’il me plaît à imaginer, à laquelle je me souhaite appartenir // la solitude d’une cause et ses communautaires moments. j’en connais moi ( dans leur nuit) qui ne se connaissent aucune cause. or moi non plus moi non plus, je ne la connais (communauté d’insavoir). j’en sais. j’en saurais. moi qui suis fille du doute et de
qui donc est cette insistante pasiphaé ?
ôter au doute sa coloration d’angoisse et c’est la certitude
Lire la suite → “on m’a si souvent dit que j’avais un accent étranger”