Beau, su, est – Le symptôme du père

vendredi 14 ou 15 avril 2011

Le rêve :

« Je travaille pour quelques jours à E.1  Il y fait sombre. Je m’y sens seule et parano, avec l’impression de travailler mal que je connais si bien. 

En fin de journée, j’erre dans mon ancien quartier, sur la place où j’habitais, qui ne lui ressemble pas.  J’ai rendez-vous avec D*, mon analyste d’alors.  J’attends l’heure du rendez-vous dans un café en face de chez lui, qui en fait en face de chez moi, le café se trouvant lui à l’emplacement… de son cabinet à lui… son cabinet se trouvant à l’endroit où j’habitais. Nous habitions l’un en face l’autre.  Il vient me chercher, m’a vue depuis sa fenêtre, me


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Donn

« comme si je pouvais commencer à avoir un corps, recommencer à avoir un corps », je me répétais tout le temps ces mots.

j’aime le dehors – le dehors de Donn, j’aime le vent – ou l’air – j’aime ce que j’y vois – je ne sais pas que j’y aime, j’aime les arbres la distance la lumière l’espace l’air – je ne sais pas ce que j’aime à donn mais j’y suis ravie, vérit…

donn, c’est un ravissement pour moi

peut-être parce qu’échappe au regard, alors plus besoin d’être (bonne image) mais possibilité d’avoir (un corps) – l’isolement de donn – clôture – ouvert et clos. entre-soi et dehors – le délice de pouvoir passer de dehors
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… que l’Amour est fils de Poros et de Penia

Cette publication est la partie 18 de 22 dans la série Pour en finir avec les antidépresseurs

mardi 16 février 2016

taï chi tout à l’heure, à 19 heures. je n’en ai pas fait de toute la semaine dernière, j’allais mal,  il faisait froid, je voulais rester à la maison. il y avait eu le symposium tout le week-end. symposium de taï chi  où, après m’être désistée et n’être pas allée aider le samedi matin à 7 heures, offrant la dégoulinante excuse des mes angoisses,  je m’étais plus tard surprise à me plaindre encore, à S, toujours, et de mon genoux cette fois, ce qui m’a semblé trop, ce qui m’a dévoilé/révélé quelque chose de ma position, posture ( me


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