lundi 22 août
10 :52
arrivés à donn hier soir.
au dîner, beaucoup bu1 , parlé plus que déraisons, mais sans en souffrir. j’ai essayé de dire, du mieux que je pouvais, et en tous les cas je n’ai pas été comprise. à peine entendue. aussi par des personnes qui pensaient avoir beaucoup moins bu que moi.
crise de « fracassemeur » durant la nuit. mais plus légère que celle que j’ai déjà décrite ici. le nom, ce nom, ce mot que j’avais écrit, « fracassemeur » donc, revenu, et tout ce que j’avais décrit autour présent mais atténué ( comme sous un brouillard blanc). surtout envie mourir.
« fracassemeur » attribué donc à la cigarette reprise hier même.
me suis levée, bu de l’orangina (dans cette envie de croire que du sucre m’aiderait)… fumé une cigarette, pris un demi-solian.
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fermé le blog.
mal avec ces histoires d’internet. pour qui pourquoi, je ne sais pas. ce que je cherche en publiant sur internet.
11 :20
ventre gonflé.
donc, j’ai recommencé à fumer.
j’avais essayé d’arrêter avant-hier, ce qui m’avait mise dans une mauvaise humeur abominable. pleine de haine et de rancœurs. à quoi ça tient, cela, c’est ce qui est détestable. à quoi les humeurs parfois tiennent. à quels adjuvants.
en venant ici, en fin d’après-midi, acheté des cigarettes. histoire de me préserver et de préserver mon entourage. déjà que la présence des beaux-parents n’est pas toujours facile.
maintenant, je n’ai plus de patch. et ne sais pas si pharmacie ouverte.
11 :52
je ne sais plus du tout quoi faire. ça doit être un reste d’effet solian. l’effet donn (lié au bonheur d’être là) a quant à lui disparu. ou s’il n’a pas disparu, s’est atténué
17 :16
calme journée piscine avec jules. tour du jardin avec chester, si excité que tout de suite à bout de souffle, haletant, hors d’haleine.
Notes:
- il faut toujours quand j’arrive à donn, et que mes beaux-parents y sont, que je m’assome, alcooliquement, dès que j’arrive, pour m’aider à les affronter. en général, dès que je me sens un peu assommée, j’arrête, mais là, j’ai continué. [↩]