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Publié le Catégorisé comme brouillonne de vie

Passons, ce jour, à l’heure d’été. C’est mon ordinateur, que j’allume à l’instant, qui me l’apprend.

F. dormi jusqu’à maintenant. Moi, c’était hier. hier dormi jusqu’à midi. qui plus est, l’après-midi, encore dormi, endormie, lisant ce livre que je m’efforce de finir, de la correspondance de Truman capote, Un plaisir trop bref. Avons également fait des courses sous la pluie au Monoprix. Et c’est tout. S’il y avait eu la télé, aurais passé la journée, la soirée, à la regarder. C’est plus clair, plus net, sans télé. Je crois que je ne suis pas loin de l’ennui. Comme clarté, on peut mieux faire, mais c’est plus clair, ce possible ennui, qu’une journée de télé.

Je me demandais ce matin, si je pourrais faire ce qu’il faut pour « comprendre » ce qu’il en est de l’Un-Corps, ce que JAM avance avec sa notion de Un-Corps.

Moi, j’aimerais bien, encore des jours et des jours de congé.

Mais déjà demain, c’est lundi.

Ah.

Je me demande si demain je vois le psychiatre. J’ai décidé d’arrêter de fumer. Ca n’est pas facile. C’est à cause de Jules, petit Jules qui tousse le matin. Avoir la toux du fumeur à son âge, c’est précoce. Il faut changer l’heure de toutes les horloges. Et faire à manger à Julos.

Avons oublié de lui acheter de la crème pour les fesses, il a un peu de diarrhée, qui traîne depuis des jours et jours. Lui avons acheté un médicament, hier, mais pas de crème, or il n’y en a plus. Je mets des patchs de nicotine.

Je ne sais pas comment me mettre à l’étude des nœuds, des nœuds de Lacan. Il en est encore beaucoup question dans « L‘Insu que sait de l’une-bévue s’aile à mourre » auquel se réfère Jacques-Alain Miller pour le moment.

Par Iota

- travailleuse de l'ombre

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