- Je te parlais de Flamme éternelle, l’exposition de Thomas Hirschhorn auPalais de Tokyo
- les images
- Ce qui est nouveau et ce qui est important dans «Flamme éternelle» par Thomas Hirschhorn
- Quel « tout possible »?
- flamme éternelle, parenthèse (prolégomènes sur le désir)
- et l’incessance,
- il n’y a de tout que de jouissance,
- Flammes étudiantes au Palais de Tokyo
- rêvolution
- au final, il ne restera plus que le don de son corps pour signifier son existence
- Le but n’est pas d’en finir avec le sens. Il n’est même pas de s’entendre : il est de parler à nouveau.
- « j’aime le Scotch»
- hirshhorn sur flickr
- La passion de l’égalité par Alexandre Costanzo
pour y revenir. encore.
/ là, où Jules a raison / où ? / tout
est possible
dit-il
quel est ce tout?
le tout nécessaire
la nature du tout est d’être
nécessaire
la nécessité c’est le tout Et au tout Il ne peut être renoncé.
le tout, fondamentalement, est la singularité même.
et il n’y a de tout que d’un.
car il n’y a de tout que de jouissance,
et à aucun d’un, il ne doit être renoncé (au nom de l’autre qui n’encaisserait pas l’un? )
ce qui m’a amenée à renoncer à tout. en vérité, la raison. tout n’est qu’un mouvement, un flux, et ne s’obtient jamais de l’autre.
mon erreur aurait été de croire qu’il n’y a de tout que signifiant. le tout dont parle Jules n’est pas le tout signifiant (même s’il tentera de se confondre avec lui). (c’est du tout signifiant que justement il n’y a pas. la jouissance elle, mouvement, est toute, toute entière contenue dans ce qui échappe au signifiant, au tout signifiant.)
STOP. ne plus aller plus loin.
(car du pas-tout signifiant la jouissance est toute. de l’objet séparé. de l’Un objet séparé. L’autre (le spectateur, le lecteur) peut l’avaler. Car sa bouche n’est pas infinie, ni plus que son appétit.) (pourquoi la flamme peut avoir des intermittences (avoir la flemme) (se montrer flemmarde))
l’erreur des générations passées.