Étiquette : Le studio de l’inutilité
Plus sérieusement,
ce que j'aime, c'est l'étude. J'oublie faute d'étudier. J'oublie pour pouvoir étudier. ( Étudier est le nom de mon manque. Femme en manque d'études. Ô femme en manque d'études.) sans école
Re: féminisme (2)
Simon Leys, dans ce merveilleux petit livre de lui que je lis en ce moment, Le studio de l’inutilité, rapporte que G. K. Chesterton attachait un prix particulier à la notion d’amateur qu’il comptait pour supérieure à celle du professionnel. « Aucune activité humaine vraiment importante ne saurait être poursuivie d’une manière simplement professionnelle.«
Chesterton reporta ce contraste amateur/professionnel à la comparaison généraliste/spécialiste. A ses yeux, les activité habituellement dévolues aux femmes ont sur celles des hommes la supériorité de la connaissance généraliste sur le savoir du spécialiste.
…« Le préjugé moderne qui consiste à dénoncer l’étroitesse des tâches domestiques suscite son indignation… il passe en revue tout l’éventail des besognes ménagères qui requièrent tour à tour,
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Le Nommé Jeudi : Un cauchemar (lien)
Là, Le Nommé Jeudi : Un cauchemar (1908),
le livre que je voulais lire, que je
cherchais, que Simon Leys donne
comme le plus beau de G. K. Chesterton.