- ne calcule ni ne juge – la conscience et l’inconscient
- d’ici à ce que, tous les matins
- Sevrage Paroxetine, 4ème jour
- mercredi 13 janvier, Sevrage Anafranil, Jour 1
- jeudi, 14.1.2016, Sevrage Anafranil, Jour 2
- Vendredi 15.1.2016, Jour 3
- sevrage jour 4, samedi 16
- 17, Nuit, VOUS LOIR
- 17, dimanche, JOUR
- lundi 18 janvier, Jour 6
- Mardi 19 janvier, jour 7
- jeudi 21, Jour 9
- vendredi 22 / le plat de tout, l’extraction
- mercredi 27 janvier. 3ème jour que je suis totalement sans AD, pas dormi de la nuit.
- 9 février _ journal d’angoisse
- sevrage, etc.
- Un jour à Donn (avec Pomm) – l’idée est de garder l’ombre de l’oeuvre
- … que l’Amour est fils de Poros et de Penia
- dimanche 21 février 2016 – méditation et acquérir un corps, encore
- semaine bruxelloise
- un peu plus vite, peut-être ( et l’objet cruel de l’angoisse)
- donn, jeudi, 7:46, réveillée par oiseaux
Voilà je considère que c’est fini, pour l’Anafranil, plus rien de notable, d’intéressant, ça fait quelques jours d’ailleurs que ça traînait. Je fais un plat de tout, que je déguste et entre-temps, je ne fais rien d’autre, et surtout, je ne fais pas ce que je dois faire.
≡ Toujours dans ma vie un plat à faire,
un plat de tout,
grâce à/à cause duquel je ne fais pas ce que je dois faire,
je m’envoie en l’air,
je m’extracte (je m’extrais), je me hors compte,
j’ai honte. ≡
Il faut que je trouve le moyen de me concentrer sur ce qui est vraiment important, que je re-détermine cela pour moi. il faut que j’arrête de traîner. Je prends tout trop à la cool, je me donne trop d’excuses.
Taï chi
Psychanalyse
Écriture
Le livre de JC
Gagner de l’argent
Ah, je rêve d’être super organisée, de plannings hebdomadaires méticuleusement suivis, de discipline. Mais comme je ne crois pas à la discipline (je ne crois plus), je veux compter (sur la pulsion), sur la nécessité (faire symptôme, créer le symptôme nécessaire à mes ambitions, accommoder les symptômes existants). Pour cela, je commence à croire qu’il y aura tout de même quelques jouissances à sacrifier. J’aurais voulu que non. Parce que je crois qu’il n’y a de voie que de jouissance. Que combattre la jouissance fait la part trop belle à l’idéal pour n’entraîner qu’inhibitions.
Ce que je crois.