- ne calcule ni ne juge – la conscience et l’inconscient
- d’ici à ce que, tous les matins
- Sevrage Paroxetine, 4ème jour
- mercredi 13 janvier, Sevrage Anafranil, Jour 1
- jeudi, 14.1.2016, Sevrage Anafranil, Jour 2
- Vendredi 15.1.2016, Jour 3
- sevrage jour 4, samedi 16
- 17, Nuit, VOUS LOIR
- 17, dimanche, JOUR
- lundi 18 janvier, Jour 6
- Mardi 19 janvier, jour 7
- jeudi 21, Jour 9
- vendredi 22 / le plat de tout, l’extraction
- mercredi 27 janvier. 3ème jour que je suis totalement sans AD, pas dormi de la nuit.
- 9 février _ journal d’angoisse
- sevrage, etc.
- Un jour à Donn (avec Pomm) – l’idée est de garder l’ombre de l’oeuvre
- … que l’Amour est fils de Poros et de Penia
- dimanche 21 février 2016 – méditation et acquérir un corps, encore
- semaine bruxelloise
- un peu plus vite, peut-être ( et l’objet cruel de l’angoisse)
- donn, jeudi, 7:46, réveillée par oiseaux
#sevrage #Paroxétine 5ème jour de diminution Paroxétine (=Deroxat). J’ai commencé à réduire le 9 décembre 2015. Je suis passée de 1 Deroxat à 1/2. Je ne m’attendais pas à ce que ça soit si difficile. Confusion. Tout ce que je puis dire.
#méditation Hier, ATELIER DE MÉDITATION. N. propose un petit exercice de non-interprétation qu’elle appelle également exercice de non-identification. Je ne peux m’empêcher de comprendre/d’interpréter : délaissement du symbolique, oubli des mots, donc interprétation rendue impossible et chute des identifications. (c’est bien au symbolique d’abord que l’on s’accroche, auquel on s’identifie – au symbolique, à un mot, à un signifiant : tel le Christ sur sa croix :: se souvenir de Michel Tournier ::: « Méfie-toi, dit-il dans le Roi des Aulnes, qu’à force de porter ta croix, elle ne finisse par te porter! » C’est bien ça, l’identification symbolique, de ça qu’il s’agit de décrocher). Quelqu’un dit « désapprendre« . N. de raconter l’histoire d’un sage en méditation dont l’un des disciples, à son grand effroi, s’aperçoit qu’un serpent l’approche, lui grimpe dessus, le traverse, et, à la fin de la méditation, lui rapporte : « Maître, maître, il y avait un serpent, il vous est passé dessus ! » Et le Maître de répondre : « C’était donc ça, cette chose gluante et glissante qui m’est passé dessus… » (le récit que j’en rapporte est approximatif, hélas). N. ajoute que la conscience, celle à laquelle elle voudrait qu’on atteigne par ces méditations, n’interprète ni ne juge. La formule (il est possible que je me trompe dans mon souvenir) est très proche de celle de Freud : l’inconscient ne calcule ni ne juge. Elle n’a donc donné aucune consigne pour la méditation, si ce n’est de garder ça à l’esprit.
#lettre je me suis gardée hier d’écrire à N. (me méfie du transfert, de l’amour, me méfie de moi-même, et peur de faire peur, peur de paraître vraiment trop en demande, que de trop laisser transparaître ma demande. du coup, j’écris plutôt ici.)