ne calcule ni ne juge – la conscience et l’inconscient

Cette publication est la partie 1 de 22 dans la série Pour en finir avec les antidépresseurs

#sevrage #Paroxétine 5ème jour de diminution Paroxétine (=Deroxat). J’ai commencé à réduire le 9 décembre 2015. Je suis passée de 1 Deroxat à 1/2. Je ne m’attendais pas à ce que ça soit si difficile. Confusion. Tout ce que je puis dire.

#méditation Hier, ATELIER DE MÉDITATION. N. propose un petit exercice de non-interprétation qu’elle appelle également exercice de non-identification. Je ne peux m’empêcher de comprendre/d’interpréter : délaissement du symbolique, oubli des mots, donc interprétation rendue impossible et chute des identifications. (c’est bien au symbolique d’abord que l’on s’accroche, auquel on s’identifie – au symbolique, à un mot, à un …
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dimanche 21 février 2016 – méditation et acquérir un corps, encore

Cette publication est la partie 19 de 22 dans la série Pour en finir avec les antidépresseurs

6:20 – aime assez écrire dans le noir sur mon téléphone quand tout le monde dort (même si j’aurais bien dormi encore un peu). beaucoup de rêves, encore. pu acheter hier chez Gibert  Mon cours de cuisine : les basiques indiens (aux éditions Marabout).  par ce livre que me suis initiée à la cuisine indienne, mais dû le rendre à la bibliothèque, where it belonged. or çà, vais donc pouvoir continuer à utiliser les épices que j’ai achetées, même que j’ai encore des étagères à leur construire. pu sans problème m’inscrire et participer aux ateliers de relaxation et de méditation hier (NOT AM …
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semaine bruxelloise

Cette publication est la partie 20 de 22 dans la série Pour en finir avec les antidépresseurs

samedi 27 février, 13:18

#bruxMère _ne serai rien arrivée à écrire de ce qui s’est passé à Bruxelles. un peu regrettable. trop d’angoisse (un moment, ai-je  même pensé : peut-être la source de la haine).

dimanche, Paris, 10h47

#bruxMère _non, ne serai arrivée à rien écrire. ne sais comment guérir cela. mère me plonge dans une angoisse noire.

#méditation _cette nuit, j’ai voulu m’asseoir sur le lit pour faire une méditation,
ce que j’avais également essayé la nuit d’avant, à Bruxelles encore, pour tenter d’éloigner mes tristes pensées, mais…
trop froid et… ne suis arrivée à RIEN sentir de mon corps…  bien


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un manque ici recouvre un autre manque

dimanche, lendemain des ateliers
atelier chi et santé suivi par atelier de méditation
avais la veille envoyé à n.  l’ensemble  des textes écrits jusqu’à présent sur la méditation et le taï chi (qu’il serait d’ailleurs bon que je relise, analyse) –  du coup, n’étais plus dans la belle et bonne distance, indifférence que j’avais fini par atteindre

1. chi et santé

travail sur le plexus solaire (encore un de ces endroits dont je ne ne suis jamais sûre, au moment où il est nommé, d’où il se trouve…) 

peau d’abord, puis sous la peau, puis très profond /  main gauche sur plexus côté gauche, main droite posée en antenne  / main droite « déplace » sorte de vague


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l’enfer (des choses à faire), etc.

la semaine en un clin d’œil

mardi 5 avril

08:30

plusieurs jours que je fais du taï chi tous les jours. les deux derniers, c’était en fait la nuit. même 2 fois par nuit. des inquiétudes me réveillent. pour en venir à bout, je me lève, je fais ça. c’est efficace. je fais plutôt de la méditation, ça fait moins de bruit. pas que le taï chi fasse du bruit mais le plancher craque. enfin, ce matin, 7 heures, j’ai fait les onze (qi gong), qui se font debout mais sur place –  y a moyen de trouver un endroit où le plancher ne craque pas.

9:14 maintenant, je pourrais ne pas dormir. mais si je dors, ça va être


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brimborions

Bruxelles 
 
On part tout à l’heure. Qu’allais-je dire. 
 
Il est possible que je me sois éloignée du langage, en tant que support de la pensée, laquelle n’est plus pour moi que ce qui m’empêche de dormir, dont j’ai perdu tout espoir de jamais la coucher sur papier. 
 
Si bien qu’aujourd’hui, il ne m’arrive plus que des brimborions de pensées, comme cette phrase qui s’imposait tout à l’heure : je veux mourir, je veux mourir, je veux mourir… À laquelle j’ai opposé un Je veux vivre fort artificiel à la manière des injonctions que l’on adresse à son corps pour l’entraîner dans un état de relaxation  : Lourd ou Chaud ou encore C’est agréable, ainsi que cela m’est enseigné au

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