(bruit et fureur)

c’est la nuit.  je me réveille au son de ces mots :  « bruit et fureur » . angoisse incroyable. je me lève pour en sortir. mère ici, suis dans salle de bain. hier soir f disait : « ta mère, c’est violence et bruit ». que dire de cette angoisse. les mots, les phrases que j’entends, me répète, qui déjà s’en vont. « j’ai plus de corps que de nom ». repris du solian, me lave les dents. dans mon « délire », je pensais que j’allais être hospitalisée.

pourtant, j’étais sur la piste d’un nouvel objet –  léger, presque drôle, envoyé par un rêve fait en suisse la semaine dernière, où figuraient des tranches de pamplemousses en forme …
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un manque ici recouvre un autre manque

dimanche, lendemain des ateliers
atelier chi et santé suivi par atelier de méditation
avais la veille envoyé à n.  l’ensemble  des textes écrits jusqu’à présent sur la méditation et le taï chi (qu’il serait d’ailleurs bon que je relise, analyse) –  du coup, n’étais plus dans la belle et bonne distance, indifférence que j’avais fini par atteindre

1. chi et santé

travail sur le plexus solaire (encore un de ces endroits dont je ne ne suis jamais sûre, au moment où il est nommé, d’où il se trouve…) 

peau d’abord, puis sous la peau, puis très profond /  main gauche sur plexus côté gauche, main droite posée en antenne  / main droite « déplace » sorte de vague


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(tout ça pour ça; pour rien)

Donn. réveillée à 6h50. j’entends le bruit du chauffage,  je déteste le bruit du chauffage.  je déteste les manifestations de tout ce qui tourne pour rien, à vide. 
le chauffage qui chauffe la nuit, c’est pour rien, c’est comme ça. l’hiver, la nuit, c’est soi au fond du lit, tout autour le froid.
c’est une question d’éducation, aussi.
et si ça avait été de la part de mes parents une façon d’être radin. qu’est-ce qu’être radin? s’agit-il d’être près de ses sous, sont-ce les sous qui comptent, ce qu’ils comptabilisent? enfin, comment auraient-ils pu être près de leurs sous, ils n’en n’avaient pas. s’agissait-il alors de ne pas en avoir. de faire ce qu’il fallait pour n’avoir

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