- ne calcule ni ne juge – la conscience et l’inconscient
- d’ici à ce que, tous les matins
- Sevrage Paroxetine, 4ème jour
- mercredi 13 janvier, Sevrage Anafranil, Jour 1
- jeudi, 14.1.2016, Sevrage Anafranil, Jour 2
- Vendredi 15.1.2016, Jour 3
- sevrage jour 4, samedi 16
- 17, Nuit, VOUS LOIR
- 17, dimanche, JOUR
- lundi 18 janvier, Jour 6
- Mardi 19 janvier, jour 7
- jeudi 21, Jour 9
- vendredi 22 / le plat de tout, l’extraction
- mercredi 27 janvier. 3ème jour que je suis totalement sans AD, pas dormi de la nuit.
- 9 février _ journal d’angoisse
- sevrage, etc.
- Un jour à Donn (avec Pomm) – l’idée est de garder l’ombre de l’oeuvre
- … que l’Amour est fils de Poros et de Penia
- dimanche 21 février 2016 – méditation et acquérir un corps, encore
- semaine bruxelloise
- un peu plus vite, peut-être ( et l’objet cruel de l’angoisse)
- donn, jeudi, 7:46, réveillée par oiseaux
07:42
Réveillée à 6 heures, cerveau hyperactif. Envoyé mail boulot, pris petit déjeuner, bois thé vert – lu avant de m’endormir hier, qu’il valait mieux ne plus boire de café pendant le sevrage. Faut que je retrouve cette article. http://www.psychotropes.info/furax/comprendre-et-minimiser-l-anxiete-pendant-le-sevrage.html
Mis des heures à m’endormir hier soir. Décidé d’observer et d’accepter tout ce qui m’arrivait, ce qui m’arrivait physiquement, de l’exploiter, les milliards de trucs bizarres que je ressentais un peu partout dans le corps. Avec ce que j’apprends en taï chi, c’est possible. Enfin, ça l’était hier soir. Je ne sais plus depuis combien de temps je prends de l’Anafranil, c’est assez récent. On l’a ajouté parce que je déprimais malgré le Deroxat, mais je ne sais plus dans quelle circonstance. C’est pour ça que je veux arrêter. on augmente les doses, on modifie les médicaments, et la dépression semble être toujours là, le manque d’envie, le désir évanoui, PUIS cette fatigue.
Il ne me semble pas que j’aurai le courage pourtant d’aller au taï chi tout à l’heure. Je ne sais pas ce que je vais faire.
9:10. Dormi. Dois partir dans 20 minutes. Le plus dur, c’est l’idée de voir des gens.
Bon, j’essaie. Je vais prendre trop de retard, sinon.