l’infinie perturbation

peur d’être trop inconsciente vraiment trop inconsciente et alors quoi il n’y aurait pas moyen d’en savoir plus / ils aiment et ils ne savent pas qu’ils aiment ils détestent et ils ne savent pas qu’ils détestent ils désirent et ils ne savent pas qu’ils désirent ils jouissent et ils ne savent pas qu’ils jouissent.

croyez que je n’y crois plus, à ce que je fais, ici. ce blog. (ça ne me fait plusvibrer).

dans mes liens, j’ai rajouté un lien sur jiveziplak, parce qu’elle
c’est elle, ce site, qui m’avait fait reprendre un blog.

avant ça, l’autre qui m’avait fait rêver d’en prendre un, quelle perturbation, à ce moment-là, ç’avait été, comment s’appelle-t-elle déjà, virginie despentes. …
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Ca ne prévient pas, ça arrive, ça vient de loin

Donc, on peut dire qu’avec la question des identifications on découvre, dans un trajet analytique, le fait qu’on ne peut pas soutenir par une identification une position féminine. Que toute la dynamique des identifications passe nécessairement par le système signifiant, et passant par le système signifiant, réinscrit, on peut dire, le féminin du côté phallique, du côté emblème.

[…]

Le passage que Lacan va faire, on va dire la révolution lacanienne, c’est d’envisager donc de nouveau la question du féminin, mais cette fois à partir de la question de la jouissance; non pas à partir de la question de l’emblème, de l’insigne ; non pas à partir de la question du fétiche, de la mascarade ; non pas à partir


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“La sensation”
— à la place de ma mère

La sensation. Souvenir m’en est revenu dimanche soir. J’avais passé le week-end à la retranscription du cours de Jacques-Alain Miller. J’étais un peu vidée. Contente, mais dans le doute, comme je peux l’être à chaque fois que j’ai passé « trop » de temps à quelque chose. Je voulais me remettre à la séance psy du lendemain, retourner, réinvestir ça, l’analyse.

Comme je pensais aux derniers mots du dernier cours de Miller, sur la jouissance féminine, je me suis souvenue de la sensation que j’avais décrite à G (l’analyste rencontré au moment de mon arrivée à Paris). Il  m’avait répondu :  « C’est un très bel exemple, une très belle description de jouissance féminine, ce dont vous me parlez …
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— à la place de ma mère

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