par ailleurs

alors pervers /névrosé c’est pareil, c’est jouissance substitutive à « celle qu’il faudrait », jouissance qui se substitue à « celle qu’il faudrait » – seulement chez l’un c’est conscient, chez l’autre pas – inconscient. (d’après milR, 3 juin 09)

he – who leads from the drive to love

The paternal function is tied to an existence that supposes sexuated articulation.He (a father) can be a model for the function only by realising in it a type of paternal perversion, that is to say, that the cause is a woman whom he acquired in order to give her children, of whom, whether he wants to or not, he takes paternal care. This surprising recourse to the “perversion” in order to save the subject from psychosis is the fecund way, (a very appropriate way of saying it in this case), for the Name-of-the-Father to be recomposed in a world where the exception is no longer transcendent. It is tangled everywhere. This recourse definitely implies that we


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Variations sur Deux notes, Philippe Cullard

Jacques Muller, Mère et enfant, 1971Exposé à Strasbourg le 7 mars 1999, à la Journée d’étude Metz-Nancy-Strasbourg, « L’enfant, l’adolescent et l’agressivité ».

La partition de la symptomatologie infantile que Lacan expose, en quelques lignes denses, dans ses « Deux notes »1  remises à Jenny Aubry, peut en imposer, à une première lecture – parfois retenue dans notre communauté – pour une correspondance avec la dichotomie classique névrose-psychose.

Cependant, dans le commentaire de Jacques-Alain Miller intitulé « L’enfant et l’objet »2 , cette division de Lacan en, d’une part, symptôme relevant du couple des parents, et d’autre part, symptôme du ressort de la relation prévalente mère-enfant, n’est clairement plus référable à cette opposition simple de structure. Ce commentaire constitue, au surplus, une synthèse


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Le caprice féminin, Frank Rollier (extrait)

[…]

A la fin du paragraphe, Kant note entre parenthèses quatre mots en latin : « Sic volo, sic jubeo », « Ainsi je le veux, ainsi je l’ordonne », dont J.-A. Miller retrouvera l’origine chez Juvénal. À Rome à partir du premier siècle (années 90), Juvénal écrit une série de satires dans lesquelles il dénonce l’hypocrisie des puissants, les mauvais exemples que donnent les parents à leurs enfants, la corruption et la luxure de la société impériale. Dans la satire VI, il s’en prend avec véhémence à la femme mariée, dépeinte comme étant toujours insupportable, sinon dépravée. Il tente de dissuader un ami qui songe à se marier et, entre autres exemples, rapporte cette saynète entre une femme et …
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