je t’oppose mon retard alors viens

01:16

Quant à moi, je prendrais bien un peu de retard.

C’est volontiers que je reprendrais de ce délicieux retard.

Vous, enfin, mon bon retard.

La joie qui est la mienne de pouvoir vous annoncer ce retard.

Chronique d’un retard annoncé.

Je me balaie

Tu te balaies

Il se balaie

Nous nous balayons

Longtemps, je me suis balayée de bonne heure!

En retard, à la bonne heure !

Le loup et le retard.

Sur son arbre perché, un retard.

Je suis Jean sans terre. et toi, qui es-tu?

Je suis Jean Sampeur.

Je suis sûre que Jules a cherché à vomir.

La faute, le phallus. Je vous renvoie à ce texte de Sterck-Devos sur l’erreur d’interprétation. Sa conclusion fut qu’il …
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bêtises

8:54

La  rentrée de Jules, c’est demain.

Je vois de + en + mal de près, faut que je fasse quelque  chose.

Il a été question, dans ma tête, que j’ouvre un cabinet de psychanalyste – avant toute chose je crois, pour gagner de l’argent (!), ensuite et mais aussi , à cause du rêve Les filles (L’école) Lacan

Ou les filles Ou Lacan et si j’ai l’un je perd les autres. Si je choisis les filles, j’aurai les filles amputées de l’école (savoir ou communauté de savoir? savoir universitaire ou savoir psychanalytique? désir de savoir?)  et de Lacan (génie). Idem, si je choisis Lacan. Si ce n’est que je crois que si je choisis Lacan, je perds tout. L’école, …
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dans l’embrasure

vendredi 21 août 2009 – matin, heure digitale : 9:51.

Dames de Marie

Cette nuit, rêve encore des Dames de Marie – cours de Chimie/Bio avec prof. contre laquelle NOUS NOUS révoltons.
Entre 2 cours, nous réunissons, nous plaignons. sommes dans l’encoignure1 l’embrasement2 l’embrasure3 d’une porte (sortie).

moi + les filles contre prof
révolte
entre 2
j’écris embrasure, mais est-ce vraiment le mot que je cherche?

Je dis :  » Et tu te rends compte, ce livre, d’Annie Ernaux, qui se passe pendant ses études secondaires, j’en ai lu seulement quelques lignes : insupportable ! insupportable! cette angoisse des examens ! n’ai pas pu continuer. »

angoisse, insupportable de l’école (racontée dans un livre)

Finalement, nous retournons


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j’ai essayé d’envoyer ce commentaire sur un blog mais ça n’a pas marché (elle avait fait ctrl-c avant d’envoyer)

je ne m’y connais pas, comme vous, en poésie (mais j’aime souvent les poètes que vous ramenez ici). et je voudrais vous rapporter quelques souvenirs que j’ai (non que je l’aie connu) à propos de ce qu’il en disait, lacan , des métaphores, de la métaphore : parlait d’elle comme de ce qui sautait le pas.  parlant d’elle disait le pas-de-sens, comme on dirait, disait-il, le pas-de-calais. la métaphore comme un saut. et pour parler de la métonymie – enfin, ces  choses, à un moment donné de son enseignement, bien sûr, ce n’est pas pas figé -, parlant de la métonymie, disait : le peu-de-sens. la glissade, le peu de sens. parce qu’il faut faut-il pas à un moment donné …
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RE:(commentaire de commentaire)

je pense que nous vivons une époque qui en est dns les balbutiements des jouissances nouvelles qu’offent les possilbilés toujours plus grandes de ce que j’appelle la réplication de la réalité, voulant souligner que s’il s’agit de représentation, d’une nouvelle présentation de l’objet, le désir étant appelé cà osciller entre l’objet représenté et sa reprensation,  cette une représentaiton le représentation et le désir qui s’y lie de toujours, quand elle se colle à l’instant-même, en direct : what are you doing right now? et tous les outils à notre disposition pour rendre possible peut-être vivons nous une époque où l’objet représenté tend de plus à plus à disparaître au profit de sa représention. une époque où la scène est partout.
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et voilà qu’arrive Bentham et son « jouer à la punaise vaut bien lire de la poésie si la quantité de plaisir est la même

« et voilà qu’arrive Bentham et son ‘jouer à la punaise vaut bien lire de la poésie si la quantité de plaisir est la même’

qu’est-ce qui dans cette phrase de Bentham choque Freud ?

ce n’est pas qu’il soit question de plaisir, de jouissance qui pose problème, c’est
l’élision de la qualité.

peut-on faire l’économie de la qualité?

qu’est-ce que la qualité?

quel est le rapport de
la jouissance et
de la quantité,
du nombre,
du chiffre.

// dira-t-on
la jouissance est chiffrage
le désir
déchiffrage. //

(quand Jules
fait son
« exposition » dans
mon
bureau.
s’assoit à côté de son « œuvre » qu’il nous a invitées à regarder, contempler.
il nous interroge:
alors, quel est le


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« Comment devient-on analyste »

commentondevientanalysteje lis le journal des journées (de l’école de la cause freudienne, en vue de leurs journées d’automne, qui se tiendront le premier week-end de  novembre, sous le titre « comment devient-on analyste? »).  on trouve ce journal des  journées sur le site de l’ecf, là: http://www.causefreudienne.net/agenda/evenements/journal-des-journees-de-l-ecf .  ce que je vous donne ici, c’est dans le journal n° 7, mais tous valent la peine. c’est court drôle clair plein d’allant. c’est signé jacques-alain miller.

Extrait du Journal 7
Jean-Pierre Klotz : Eplucher le « on »

« Comment devient-on analyste », ce n’est pas comment untel, ou comment je, ou comment nous, ou comment chacun, le devient, c’est comment on le devient. On, pronom dit indéfini en français, suivi …
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je ne sais jamais

comment m’habiller (ni d’ailleurs mon blog).

L’inhibition a un double versant : dépendante du corps, de ses fonctions et de son image, elle semble liée à l’imaginaire. En tant qu’elle indique une limite et un arrêt dans la symbolisation, elle touche au réel. Elle résonne donc avec tout ce qui chez le sujet ne peut trouver un appui dans la représentation. […] Elle est donc ce qui produit de nouvelles représentations à partir de l’imaginaire du corps. L’arrêt même du sujet, dans l’inhibition, lui sert à se « faufiler » sous forme d’image pour figurer, prendre place là où il ne devrait pas être parmi les signifiants.
Dès le début des années soixante, Lacan situe l’inhibition

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A.-M.

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des anna maria ou anne-marie (voir  l’école les filles lacan et dans l’embrasure), il y en a eu plusieurs. j’en retrouve une. la photo ne date pas de l’époque des dames, mais des filles, de la sagesse (2° et 3° primaire). est-ce que nathalie était malade?  nathalie était peut-être souvent malade.

Anne-Marie la sage.

~

de ce court post, je décide du titre : j’écris : A-M et je pense, alors quoi? Anne-Marie Stretter?
A-M Garavello, A-M Stretter…

journal 9, my suffragette-attitude/2

– MARION. Les temps changent. Un jeune patient m’a réglée sa séance en carte Pokémon. La carte a un
pouvoir de 70 sur 100. Elle se nomme Le Créfadet. “Il dort au fond d’un lac pour maintenir l’équilibre du
monde.” JAM : Un analyste joue en effet le Créfadet pour un sujet – quand il ne peut pas faire mieux.

treize

 

 

 

c’est aussi aujourd’hui l’anniversaire du (double) meurtre de mon oncle.

               un treize septembre.

jusqu’à ce que j’apprenne cette date, très tardivement, pendant la maladie de mon père, un peu avant sa mort, date que j’ignorais donc avant cela, ce jour était souvent un jour où je tombais amoureuse. j’écrivais des textes, aussi, éclairs, que fièrement je signais.

ceci s’inscrit encore dans la catégorie du mois d’août.

 

 

 

 

retour d’afrique

rapidement j’ajoute, eau au moulin,  à propos de l’homme revenu, d’Afrique, l’Africain :

  1. le premier homme garçon que j’ai connu (au sens biblique) était MULATRE (albert)
    je m’appelle müller, ça vous fait le « MÜL »
    le fantasme de ma mère : mourir martyre, ne pas, trahir, sa foi. mourir, brûlée, vive sur des
    charbons ardents, à petit feu. ça vous fait « LÂTRE »
    ah ma mère, ce grand amour pré-génial
    ah mon lacan rêvé par moi grand saint et martyr de la psychanalyse
  2. L’A-FRIC
    bon, là c’est compliqué. de fric je n’en ai point et déteste m’en faire. j’ai bien pensé à cette chose dite par miller à l’un de ses cours sur ce qui, selon lacan, pouvait

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