je pense que nous vivons une époque qui en est dns les balbutiements des jouissances nouvelles qu’offent les possilbilés toujours plus grandes de ce que j’appelle la réplication de la réalité, voulant souligner que s’il s’agit de représentation, d’une nouvelle présentation de l’objet, le désir étant appelé cà osciller entre l’objet représenté et sa reprensation, cette une représentaiton le représentation et le désir qui s’y lie de toujours, quand elle se colle à l’instant-même, en direct : what are you doing right now? et tous les outils à notre disposition pour rendre possible peut-être vivons nous une époque où l’objet représenté tend de plus à plus à disparaître au profit de sa représention. une époque où la scène est partout. se donnant comme de plus en
ce qui colle ? ce serait – ce qui colle directement à la réalité, branché en direct : what are you doing right now? et le (désir)(besoin)(nécessité) qui se lie de répondre à cette question, de se projeter dans sa propre représentation. se projeter perpétuellement dans sa propre représentation, dans l’absence à soi (fuite). la représentation tenue pour désirable, ce qu’elle est, mais dans le déni de ce qui est représenté, de l’objet-même, qui devient ou deviendrait l’oublié de l’histoire, le rejet.
autant de questions qui interrogent merveilleusement ce qu’il en est non pas pour ma part ce qu’il en est de l’art, mais de ce qui en vaut la peine.
ce que vous dites, je le sens. et j’essaie d’y initier ma pensée qui a tendance à fonctionner en système où elle se fige.
c’est moi qui vous remercie pour votre réponse.
de toute façon il reste la musique.