
qu’est-ce qui dans cette phrase de Bentham choque Freud ?
ce n’est pas qu’il soit question de plaisir, de jouissance qui pose problème, c’est
l’élision de la qualité.
peut-on faire l’économie de la qualité?
qu’est-ce que la qualité?
quel est le rapport de
la jouissance et
de la quantité,
du nombre,
du chiffre.
// dira-t-on
la jouissance est chiffrage
le désir
déchiffrage. //
(quand Jules
fait son
« exposition » dans
mon
bureau.
s’assoit à côté de son « œuvre » qu’il nous a invitées à regarder, contempler.
il nous interroge:
alors, quel est le chiffre
où est le chiffre
vous le voyez? c’est quoi
le chiffre?
(ici, c’est probablement une interprétation qui est demandée. au moins, cette demande, je l’ai entendue.))
à s’en tenir au chiffre, toutes les équivalences
sont permises. toutes comparaisons équivalentes.
(est-ce que quand il demande quel est le chiffre
Jules déjà déchiffre
ou plutôt nous demande
de déchiffrer.
serions-nous ceux-là, celles-là en l’occurrence, puisqu’il s’agissait de ma mère et moi, qui
connaissons le chiffre.
et le chiffre ici, n’est déjà plus n’importe quel chiffre. c’est le chiffre.
et lui, le sait-il le chiffre?
(son chiffre)
chiffre/déchiffrer
défricher.)
et à quoi tient-elle la qualité. elle est en tout cas ce qui fait obstacle à l’équivalence universelle.
1 = 1
1 pomme ≠ 1 poire
1 pomme a le prix d’une poire
1 euro = 1 euro
mais 1 pomme n’est pas 1 poire
la pulsion est acéphale – l’obsession – l’obsessionnalisation du monde contemporain – l’addiction
la différence, la différentiation
qu’apporte la notion de qualité. devenue si difficile à saisir, retenir. par quelle voie? quel moyen?
/ la qualité tient au trauma. /