avoir ~ LOM cahun corps et nan-na Kun

LOM, LOM de base, LOM cahun corps et nan-na Kun. Faut le dire comme ça : il ahun… et non: il estun… (cor/niché). C’est l’avoir et pas l’être qui le caractérise. Il y a de l’avoiement dans le qu’as-tu? dont il s’interroge fictivement d’avoir la réponse toujours. J’ai ça, c’est son seul être. Ce que fait le f…toir dit épistémique quand il se met à bousculer le monde, c’est de faire passer l’être avant l’avoir, alors que le vrai, c’est que LOM a, au principe. Pourquoi? Ça se sent, et une fois senti, ça se démontre.
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L’S.K.beau c’est ce que conditionne chez l’homme le fait qu’il vit de l’être (=qu’il vide l’être) autant qu’il a – son corps: il ne l’a d’ailleurs qu’à partir de là. D’où mon expression de parlêtre qui se substituera à l’ICS de Freud (inconscient, qu’on lit ça) : pousse-toi de là que je m’y mette, donc.
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Avoir, c’est pouvoir faire quelque chose avec.
Lacan, Jacques, Autres écrits, « Joyce le Symptôme », pp. 565-566 (Actes du 5ème Symposium James Joyce, Paris 16-20 juin 1975),

AVOI (a-voi), s. m.
Terme de brasserie. Donner un avoi, faire couler d’une cuve dans une autre.
ÉTYMOLOGIE :
Peut-être de l’ancien verbe avoyer, mettre en voie.

17 Jan 2006 @ 19:55 | Commentaires fermés sur avoir ~ LOM cahun corps et nan-na Kun | catégorie: psychanalyse | mots-clés: