juillet 2006

  • moi non plus

    [ 8 juillet 2006 ]

    Je viens de terminer un livre merveilleux, un livre qui certainement marquera pour moi un avant et un après, il s’intitule Pourquoi je n’ai écrit aucun de mes livres? de Marcel Benabou. Et c’est dans le fil encore de sa lecture que je me risque à l’énoncé de cette certitude.

  • zuitres (dans le noir)

    [ 10 juillet 2006 ]

    totalement perdu l’habitude d’écrire. arrivée conclusion, certainement non le blog n’est pas la, n’est pas ma
    bonne
    façon. actuellement lis t.c. boyle, nouvelles: décidément non, Le monde des livres n’est pas la, pas mon, meilleur conseiller. mais, au pa
    ravant
    chronicar’t m’avait fait découvrir :
    XY (oubli du nom)
    et alors:

    – 1 gros livre jaune, cartonné, de la bibliothèque
    – 1 gros livre bleu, couverture souple, acheté chez Tschann : magnifique, vraiment.

    . n’est pas la et je rêve .

    mais.

    cette semaine, essayer, juste pour voir, raccrocher.

  • (cette huitre) dans, pour le noir

    [ 10 juillet 2006 ]

    cet oubli du nom, des noms propres, Freud, il a écrit tout un texte, là dessus.

    et moi aussi, moi aussi
    j’oublie
    les noms propres – les noms d’auteur
    je ne dis pas que ça soit les mêmes
    de noms, lui,
    avait oublié Signor elli

    moi, c’est presque tous
    les noms
    presque tous
    les noms propres

    hier, du nom dont j’essaie de me souvenir ici, ce matin, sans trop l’essayer d’ailleurs: vain
    hier donc, par hasard, alors que je vaquais, occupations, ménagères, je me suis souvenue, j’ai pensé, ah, voilà, c’est fait, je l’ai retenu.

    c’est fait, je l’ai retenu, le nom – le nom de l’auteur.

    or ça, à nouveau, oups, oublié. quelque chose à voir avec le thé – je crois, le nom. anglais, l’auteur, plus jeune que moi.

    oubli par moi rapporté – mais vaguement –
    à l’impossibilité qui est la mienne
    d’être auteur moi-même.

    quant à freud, sigmund, ça avait
    quelque chose
    à voir avec
    la mort, l’impuissance
    (sexuelle)

    cela dit, je ne doute pas, que le nom
    me revienne. tôt ou tard.

     

    hier, ou avant hier, j’ai rêvé que quelqu’un avait (déjà) écrit quelque chose sur le n’importe quoi. je me disais, ah moui, donc, c’était déjà écrit.

  • noir (l'autre jour)

    [ 10 juillet 2006 ]

    l’autre jour je lisais et je me suis dit que
    je
    me

    tenais,
    toute entière (curieux)
    du côté du,

    du côté droit:

    Nous pouvons donc, à partir de ces remarques, répartir des termes
    selon qu’ils ressortiront au rapport ou au non-rapport :

    rapport non-rapport
    signifiant a
    oppositif, distinct indistinct
    discret ( → )   continu (→ )
    énumérable incomptable
    nommable innommable

    Ajoutons :

    inconscient jouissance Une
    Verdrängung Urverdrängung
    (savoir possible)  (savoir impossible)
    S1 → S2  
  • noir (facilement)

    [ 10 juillet 2006 ]

    facilement, je pourrais, continument, écrire.

  • un point (dans le noir)

    [ 10 juillet 2006 ]

    toby litt. mais ça n’a rien à voir avec le thé. si ce n’est que ça commence avec un T.

    de l’auteur, le nom

    et que ça termine avec 2 T.

  • noir ( err atum)

    [ 10 juillet 2006 ]

    on m’écrit (texte brut) :

    toby litt acheté à la hune