quant à la correspondance

je peux hélas affirmer aujourd’hui que je n’ai, jusqu’à présent, cherché d’autre correspondant que celui qui pût m’offrir, en miroir une image – dont le corps fût de lettres.

ce qui m’est apparu à la lecture du texte de la sagna sur l’inhibition publié dans la cause freudienne dont j’ai récemment repris ici un extrait.

(ma jambe n’en devient pas belle pour autant.)

14 Nov 2008 @ 11:42 | | catégorie: les livres ou la vie, psychanalyse | mots-clés: