quant à la correspondance
je peux hélas affirmer aujourd’hui que je n’ai, jusqu’à présent, cherché d’autre correspondant que celui qui pût m’offrir, en miroir une image – dont le corps fût de lettres.
ce qui m’est apparu à la lecture du texte de la sagna sur l’inhibition publié dans la cause freudienne dont j’ai récemment repris ici un extrait.
(ma jambe n’en devient pas belle pour autant.)