du travail encore trop. la nuit trouée par l’idée que je dois fermer ici, faute de temps.
mon histoire? je la connais, à un siècle ou deux près. je retiens plein de choses, pas les chiffres. idem pour les noms de pays. ça tient à ma structure, l’hystérie. enfin, c’est ce que je crois, ai longtemps cru. condamnée à l’atemporel.
entendais à la radio hier deleuze, encore, dans son abécédaire, parlant de ce que ce serait pour lui, être de gauche : penser le monde, pouvoir penser au-delà de son quartier.*
lui, n’avait pas pensé à moi.
le monde, j’y pense, je le conçois, mais à moins d’un grand effort, il est ici et maintenant et de toujours et de
Lire la suite → “olala, de l’histoire et autres calembredaines”