olala, de l’histoire et autres calembredaines

du travail encore trop. la nuit trouée par l’idée que je dois fermer ici, faute de temps.

mon histoire? je la connais, à  un siècle ou deux près. je retiens plein de choses, pas les chiffres. idem pour les noms de pays. ça tient à  ma structure, l’hystérie. enfin, c’est ce que je crois, ai longtemps cru. condamnée à l’atemporel.
entendais à  la radio hier deleuze, encore, dans son abécédaire, parlant de ce que ce serait pour lui, être de gauche : penser le monde, pouvoir penser au-delà  de son quartier.*
lui, n’avait pas pensé à  moi.
le monde, j’y pense, je le conçois, mais à  moins d’un grand effort, il est ici et maintenant et de toujours et de


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du temps gelé, de la guerre, du point g
— (de la lecture, de ma mère)

Il y a deux jours, je rêve d’un amoncellement, d’un empilement vertical de « caddies » au dessus duquel je vais me percher, me réfugier, extrême précarité, je tente de diriger les mouvements des caddies, qui sont vifs, accélérés, imprévisibles, avec mon corps.

Cet empilement de « cas »  (les « cas » de « caddies ») désignant pour moi le « K » du « K-rante » (40) du 40-45 / date de la guerre / à laquelle je dis, à la suite de ma lecture de R. Warshasky,  que « mon temps s’est figé« .

Date à laquelle, depuis laquelle, l’histoire ne peut pas se faire. Qui ne s’intègre pas à la suite des


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— (de la lecture, de ma mère)
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