La vie de Sachs est en effet modelée par des traits de genre qui forment un système : la vie comme un texte, un palimpseste cousu de figures lisibles à qui sait les lire.
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Première des figures de son existence rhétorique, le paradoxe de cet homme qui vénère la chose écrite est son incapacité à produire un texte en vue de le montrer. Impossible à rendre publique, l’écriture est sa doublure alors qu’elle devrait être son manteau.
Maurice Sachs le désoeuvré, Thomas Clerc, pp. 20-21