/ hello hello / ( je travaille beaucoup plus que 5 heures par jour/ après, je m’écroule /)
(du coup, le besoin la tentation du tout écrire, coucher sur ne se fait plus sentir
( je pourrais presque dire / je dirais / de ce que je fais : ça m’suffit / rester dans la bribe : au moins ça : la bribe. la bribe et le vent. / ou garder le cap sur la prairie. la pairie. probablement, vaudrait-il la peine que je re-jette des_coups_d’œil_en_arrière. me relise.
or ça, il faut que j’ajoute également : mon corps.
¦
¦
¦
¦
¦
il y a eu ce moment où je n’ai plus voulu pour lui – où ça s’est insinué en moi – qu’il passe des heures devant un écran. et je cherche en ce moment, le moyen, ma façon, qui me permette de travailler autrement.
¦
¦
¦
¦
¦
je parle de ce travail que je fais « pour moi » – les trucs que j’essaie ici, en écrivant. je voudrais / chercherais / qu’il se construise ailleurs que dans du virtuel – c’est peut-être juste une question d’état d’esprit, à modifier. oui, c’est important, ça, ce refus qui s’est fait, en moi. comme si l’écran n’y suffisait pas. non pas comme si : parce que l’écran ne me suffit plus. (d’où, ce que j’y fais en ce moment : le minimum, me suffit).