au réveil, café percole, sers à jules ses céréales, pénombre, j’épluche une orange. j’ai bien dormi.

Publié le Catégorisé comme brouillonne de vie

le livre coûtait 50 euros et Frédéric était réticent (50 euros, j’ai pensé que c’était le prix de la séance du lendemain.)

j’ai réalisé que je ne lisais plus.

dans le livre dont ma mère disait que mon père le lisait, les indiens attendent un rêve.

quand je travaillais à la Société nationale terrienne, ce travail, mon premier, quel âge avais-je, que j’avais été « forcée » à prendre par le chômage, je lisais tous les matins quand j’arrivais, la première heure, tant qu’il n’y avait personne. il fallait que j’arrive à huit heures, les autres arrivaient à 9. un séminaire de lacan je lisais.

Par Iota

- travailleuse de l'ombre

Top