Le bonheur tout de même ça m’est sacrément égal.
Greta
photographie : tod seelie (Everyday i Live);
sculpture : le faune mordu – jef lambeaux
photographie : maya de forest (i love here now)
Privé et abandonné < le monde à distance d'une lettre
Le bonheur tout de même ça m’est sacrément égal.
Greta
photographie : tod seelie (Everyday i Live);
sculpture : le faune mordu – jef lambeaux
photographie : maya de forest (i love here now)
HAHAHAHA le bonheur tout de même ça m’est sacrément égal….
(c’est comme moi les grosses bites, JE M’EN FOUS….)
(mais alors)
…………..
(ouinouinouin… maman pourquoi tu m’as pas fait une grosse bite ????)
tu crois que le bonheur est dans les grosses bites? alors, c’était ça que j’avais pas compris… non, c’est pas que tu dis. de toutes façons, de grosse bite, j’en n’ai pas non plus. anyway, je le jure, je m’en fous du bonheur. faut dire que je ne m’en fais aucune idée pas la moindre. sinon d’une sorte d’état définitif, et qui ferait une croix sur trop de choses. je ne parle même pas du bonheur dans le malheur, je parle du côté obscur de la force, de l’incertitude, de ce qui ne se supporte de rien , d’aucun jugement, aucun qualificatif
(je mets beaucoup d’espace ici, parce que la suite n’a rien à voir, je crois)
récemment de barthes je lisais pourtant qu’il ne faudrait plus continuer à parler avec les yeux extasiés de l’innommable, non, non, qu’il faudrait parler de ce qui nomme, de ce qui est nommé, je te parle de ce que nomme le bonheur, qui ne me parle pas.
bon, je recherche la citation:
« On entend souvent dire que l’art a pour charge d’exprimer l’inexprimable: c’est le contraire qu’il faut dire (sans nulle intention de paradoxe): toute tâche de l’art est d’inexprimer l’exprimable. »
encore une fois j’avais rien compris / rien retenu
si ce n’est que si le bonheur est exprimable, j’aime autant l’inexprimer (mais c’est une pirouette)