Sans titre

J’ai commencé à diminuer les doses de Paroxetine. Pas de beaucoup : je suis passée de 1, 5 à 1. C’est moi qui ai voulu ça. Je me trouvais trop fatiguée et déprimée. Il ne me semblait plus que les médicaments puissent y faire grand chose. A la question du Dr G, j’ ai répondu que c’était sans doute dû au fait que j’avais totalement renoncé à être psychanalyste.  Tout du moins que je m’y efforçais et tentais de trouver du côté du zen une autre issue. Eh bien, si le zen peut m’apporter certaines consolations et me donner le sentiment d’une issue censée possible et belle. Il n’a pas empêché que je me trouve fondamentalement déprimée. Puis, de toutes façons, je manque fondamentalement de persévérance. A quoi ce sont  ajoutés les symptômes de la ménopause et ce sentiment que c’en était fini d’un corps, que je rentrais dans un autre corps. 

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