certains sont très gros.
il y a des hommes. d'abord Ferdinand, je crois. quelqu'un d'autre vient ensuite, un jeune, qui me propose quelque chose à vendre. personne ne veut s'acheter un manteau? je dis oui. il me donne un paquet d'enveloppes. j'en ouvre une, c'est un dessin. je me demande s'il s'attend à ce que je l'achète pour le prix d'un manteau. quelque chose me dit que c'est le plus beau des dessins. il y a une douche. le garçon va prendre une douche. ou est ce que c'est moi qui m'apprêtais. le garçon me saute dessus, dans un coin. me dit J'ai toujours voulu… mais rien de plus, il va prendre sa douche. je ne sais pas s'il s'intéresse vraiment à moi. je suis vieille.
je crois que c'est alors que commence l'histoire des poux.
avant il y a eu une souris. au moment où je passais par dessus un mur. je crois qu'il n'y avait pas trop moyen de sauter le mur à cause de la souris.
là, les gens se cherchent des poux.
ils mangent aussi. Ferdinand.
moi pas. Le garçon qui voulait vendre des dessins pense qu'il n'a pas de poux. je lui en trouve un, très gros. rond, plat, de la taille d'une soucoupe.
il rejoint les autres à table,. ils mangent d'énormes spaghettis.
J'ai fait ces rêves comme à chaque fois que je prends une cuillerée d'huile de nigelle le soir, pour m'aider à dormir. je me sens bien reposée.
certains sont très gros.
il y a des hommes. d'abord Ferdinand, je crois. quelqu'un d'autre vient ensuite, un jeune, qui me propose quelque chose à vendre. personne ne veut s'acheter un manteau? je dis oui. il me donne un paquet d'enveloppes. j'en ouvre une, c'est un dessin. je me demande s'il s'attend à ce que je l'achète pour le prix d'un manteau. quelque chose me dit que c'est le plus beau des dessins. il y a une douche. le garçon va prendre une douche. ou est ce que c'est moi qui m'apprêtais. le garçon me saute dessus, dans un coin. me dit J'ai toujours voulu… mais rien de plus, il va prendre sa douche. je ne sais pas s'il s'intéresse vraiment à moi. je suis vieille.
je crois que c'est alors que commence l'histoire des poux.
avant il y a eu une souris. au moment où je passais par dessus un mur. je crois qu'il n'y avait pas trop moyen de sauter le mur à cause de la souris.
là, les gens se cherchent des poux.
ils mangent aussi. Ferdinand.
moi pas. Le garçon qui voulait vendre des dessins pense qu'il n'a pas de poux. je lui en trouve un, très gros. rond, plat, de la taille d'une soucoupe.
il rejoint les autres à table,. ils mangent d'énormes spaghettis.
après, je marche, je retrouve un chemin de terre maintes fois parcouru dans l'enfance, en rêve, un chemin parallèle, de l'autre côté d'une barrière, qui loge d'abord un gouffre, très peu de temps heureusement. non seulement je marche mais je cours. je suis très heureuse de courir, je ne me fatigue pas. c'est agréable.
j'écris sur téléphone en mode avion. je ne sais pas si ça va être sauvé. je le recopierai dans un mail. ou dans un fichier Word?
J'ai fait ces rêves comme à chaque fois que je prends une cuillerée d'huile de nigelle le soir, pour m'aider à dormir. je me sens bien reposée.
hier commencé le transfert de l'atelier FB à un site dédié. ça prend du temps.
je voulais terminer le texte 1 du nouveau cycle, celui auquel je ne sais pas si je participerai. difficile de ne pas participer. je le sens. ça m'angoisse, je crois quand je sens que je ne vais pas le faire. non pas vraiment que je l'aie décidé, mais le thème proposé, l'atelier de la semaine dernière, ça ne marchait pas, pas du tout. des choses ont poussé cependant que je crois être arrivée finalement à mettre dans de meilleurs rails. mais il y une chose que je ne suis pas arrivée à écrire, pas écrit tout de suite puis ça a disparu. je voulais mettre tous ces essais dans le blog dédié, une rubrique brouillon.
il y a eu quelque chose que je n'ai pas écrit quand ça s'offrait, c'est bête. qui traçait un lien, tirait un lien entre la couleur, mon père, la judéité, ma position. il faudrait un jour au moins de travail pour le retrouver. je n'en dispose pas aujourd'hui.