Sans titre

Publié le Catégorisé comme brouillonne de vie Un commentaire sur Sans titre

l
m
m
j
ven dre di  – sommes malades tous, au lit
s – la semaine prochaine je travaille
d
l un di – presque qu’aussi difficile de ne pas faire régime que de faire régime.
m
mer credi – rien, toujours rien, chipotages, demain demain
jeux dits –   pour le boulot, n’y arrive plus ( à vrai dire texte de la semaine dernière a mis fin a qq chose, conclu, d’une façon à laquelle je ne m’attendais pas, et comme s’il fallait maintenant un après. comme s’il avait conclu, mais avant terme. j’ai accouché d’un bébé qui est toujours dans mon ventre. il me faudrait rester alitée, avec lui, et lui donner, quelques temps encore
le sein le sein, qu’il me nourrisse. et aussi qu’autour de moi, on s’é merveille, on con gratule.)
vendredi  – empêchée
samedi – boulot n’en finit plus et n’ose pas y penser, je n’ose même pas y penser, à vrai dire, ne m’y suis pas mise de la semaine, mais  keski reste à faire misère:

1) écrire à dh
2) le bas de la page
3) le sitemap
4) les pages d’articles
5) arranger pour la navig
6) la homepage

dimanche –  le problème, c’est que ça, ça n’est pas savoir. ça, c’est être informé. (sans compter qu’elle est toujours sujette à caution l’information.) être informé, cela n’est rien. c’est à rejeter.

l – à l’analyste je parle de ne pas aller aux Journées, plus. me dit que je peux, sans problème, me faire rembourser. décidé de ne rien faire sur dans pour le blog tant que boulot pas terminé. en ai confié les clés à f. (du blog : un nouveau mot de passe !)

m –

le fils : ca-na-aucune-importance-papale futur petit beau-fils : nous-allons-prevenir-la-policela petite-fille : grand-père, nous te-demandons-pardon

m.  – aujourd’hui mercredi, fin de septembre. j’essaye de lire, je ne lis pas. nous assistâmes à (un grand rassemblement de mots). hier vîmes  le film de qui marco ferreri la petite voiture. je vais boir un cap uccino. où suis-je au lit. jules est là, c’est mer
credi après-midi . je me décidai à tenter d’écrire, jules me rejoignit.  cher X vous, vous, trom-pez peut-être, et l’homme n’a-t-il, le vieil homme tué sa fem-
me. sa fam-
ille. n’est-elle pas morte. revoyez voulez-vous, cher monsieur, la scène du coup de fil : ils sont tous dans le bureau, où le vieux a laissé a bouteille de poison, ET, la soup-
ière est sur
la table, le bureau. s’ils savent et pardonnent, cela. considérations distinguées.1 inconfort. travailler et être chouette avec jules.

j – peut-être que pourrais ne plus le voir, l’analyste. peut-être. lui dire quoi. quoi, encore. et l’argent. on verra, je ferai peut-être un rêve. impossible tenir rythme du mois d’août, tenir, soutenir, ce rythme.

vendredi, seigneur, tellement travaillé, cette semaine, cet effort, c’est à vomir. concert, tout à l’heure. je m’occupe bien de f.

s
d
l –  impossible me remettre au boulot
m- curieuse cris e de panique – passée déjà mardi 6 octobre. hier lundi jour de lanalyste (crise de panique à la place d’1 rêve?)

m – jules n’a pas voulu aller au centre de loisir. f. je ne sais où. je ne fais plus rien. je ne sais plus rien. je vais faire des crêpes à jules. je ne suis pas malheureuse: inconsciente.

Notes:
  1. or donc, oui, on le  voit aux images : ils savent tout. la bouteille de poison et la soupière sont sur la table. le père a essayé de tuer ses enfants, et ils lui demandent pardon. []

Par Iota

- travailleuse de l'ombre

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14 années il y a

Oui, c’est moi qui t’ai dit « il y a la soupière donc ils savent et pardonnent’
c’est vrai que tu t’occupes bien de f
et vice versa, hein

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