Lundi onze mars 2013
Est-ce que je ne sais pas ce que je veux ?
De façon ultime ? Non –
Vivre ce lien unique avec la psychanalyse, même me passant de l’analyste.
(Il ne me semble pas que je ne me sois éloigné de la psychanalyse à aucun moment en aucun endroit.)
Ça ne peut pas être l’ultime vœu.
Peut-on vouloir ça ?
Que peut-on vouloir ?
Il peut s’agir de cela : vivre – aller se placer dans son feu. Se faire griller par elle. La psychanalyse en toaster. Est-ce ce que je vis ? C’est ce que je veux. Est-ce vivable ? Hélas, vie trop en pensée. Ça a son coût, de pensées. Lourd. Excessif. Heureusement la pensée est loin d’être la seule matière de la psychanalyse.
Vivre la psychanalyse (à défaut d’en vivre…)
La psychanalyse est un lien à la vie, qui la scrute. Mais pas seulement.
Que veux-tu ? Vivre. Et cela est tout ? Je n’en sais pas plus. Qu’est-ce qu’écrire ? Un espace, une voix, une lettre mouvante.
La psychanalyse est un filtre à tout ce qui se perçoit. Il est 9 heures : repos –stop.