À l’église, de ma mère les fesses et le discours

Publié le Catégorisé comme RÊVES

Vois mère sur petit écran, ordinateur portable. Elle est dans grande église. Poperinge peut-être. Elle commence discours. Peut-être sur mon oncle JP. Je ne supporte pas sa désinvolture. Désinvolture, nouvelle attitude depuis mort de mon père. Me paraît mensonger, un déni, mais de quoi. Je ne veux pas l’écouter. Plus tard, plus loin dans le discours, elle fait un gros succès. Les gens l’applaudissent à tout rompre, l’interrompent pour l’applaudir. Je n’en reviens pas. Il font vraiment un vacarme de tous les diables. Je ne sais pas de quoi elle parle. Peut-être de la vie à la campagne, en Ardennes ou à Poperinge autrefois.
Je n’entends pas ce qu’elle dit, le son est trop bas. Après le discours, un jeune homme lui saute dessus, veut la serrer dans ses bras, danser. Ils sont debout dans l’allée de l’église, la nef. Ma mère se dégage, ce n’est pas le moment, elle est trop bouleversée par ce qui vient de se passer. Elle veut se rasseoir. Elle s’avance entre les chaises, elle est de dos. Je m’aperçois qu’elle porte un vêtement transparent, une petite jupe en tulle noire, un tutu. Dessous, on voit ses fesses, de petites fesses rondes. J’hallucine. Je veux alerter mes frères, mais ils sont occupés. Je veux leur repasser la vidéo, mais ça ne marche pas très bien. Je leur dis que je suis bien contente de ne pas y avoir été, que je ne le regrette pas du tout. Eux non plus n’y sont pas allés. Ça les intéresse, mais ils discutent, puis la vidéo ne fonctionne pas. Je veux qu’ils voient son succès, son triomphe.
A ce moment. Jean-François se met à jouer d’un instrument qu’il a acheté et travaillé en secret. Je le savais,  qu’il l’avait fait, mais je n’avais jamais vu l’instrument. Jean-Pierre est épaté, mais il doit s’éloigner un moment (il est appelé au téléphone). Jean-François joue, je sais que c’est important pour lui, je me rapproche, je l’écoute jouer. De loin ça paraissait être une sorte de  banjo. De près, il  semble plutôt que ce soit composé d’une suite de tournevis peints en rouge, à la peinture brillante (comme dans ? Ça me dit quelque chose. Sur des éclairs, dans l’émission l’autre jour, de cuisine, l’un des candidats avait mis une crème très brillante, une sorte de vernis très épais, très rouge). Il y a comme 5, 6 tournevis, alignés du plus grand au plus petit. L’objet ressemblerait à une flûte de pan.

Par Iota

- travailleuse de l'ombre

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