Au fond, il est plus difficile de se laisser aller à sa pente que l’inverse. Cela suppose une traversée de l’existence qui retourne les conditionnements et les envoûtements, pour abolir la séparation avec soi-même. Cela suppose une nécessaire virulence dont le but est de se libérer des entraves. Cela suppose une grand courage.
F. Gouzon, Daniel Pommereulle – Huitièmement, qu’est-ce que la cruauté? Editions Multiple, Paris, 2016, p. 133.