vendredi soir
pas dire grand chose, si ce n’est que HP disait que partir en Auvergne, ça serait comme un passage à l’acte. Et elle se trompe, je crois. Elle disait que je ne connais rien de Nathan, qu’avec Édouard j’avais construit quelque chose.
avec Nathan tout était beau et facile. nous n’avions aucun mauvais souvenir, aucune inquiétude. du moins quand nous nous voyions. je n’arrive pas à écrire beaucoup plus.